Scandale à Bollywood. La raison: un acteur se met pour la première fois à nu à l’écran. Désolé, mesdemoiselles, mais la séquence en question ne dure qu’un bref instant et ne révèle pas l’intégralité de la plastique du nouvel idéal masculin indien: Ranbir Kapoor.
C’est au beau milieu (jeu de mots involontaire) de la chanson ‘Jab Se Tere Naina’ que le partenaire de Sonam Kapoor dans Saawariya, sortant du bain, fait glisser sa serviette et laisse entrevoir son postérieur le temps d’un battement de cils.
Très curieusement, il y a trente quatre ans, le père de Ranbir, Rishi Kapoor, dévoilait également brièvement le bas de son dos dans son premier film, réalisé par Raj Kapoor [le grand-père de Ranbir] Bobby.
Reste à savoir si l’effeuillage de Ranbir lui permettra de multiplier le nombre de ses admiratrices, déjà très nombreuses avant même la sortie de Saawariya. En tout cas, Neetu Singh, la mère de l’acteur considère la scène de bain de son fils comme mignonne. A vous de voir!
mercredi 31 octobre 2007
lundi 29 octobre 2007
Saawariya: l’histoire
Saawariya est l’histoire intemporelle de deux jeunes amoureux maudits dont la passion les conduit à l’autodestruction. Dans cette ode romantique éternelle, il y a deux âmes solitaires dont l’innocence enfantine et la candeur obscurcissent leur conflit intérieur, leur colère, leur anxiété et leur attente désespérée de l’amour.
Raj est un artiste, un esprit libre, un idéaliste et un rêveur. Il est persuadé d’avoir rencontré son rêve ultime lorsqu’il arrive dans un petit village pittoresque. Un endroit entouré par des montagnes, de la brume et enveloppé par la beauté, suffisamment mythique pour être la vision d’un peintre ou la mémoire d’un poète.
Pourtant, la destinée réserve une autre image pour Raj …
Par une nuit silencieuse et étoilée, il aperçoit une fille mystérieuse, drapée de noir, attendant seule sur un pont.
Cette rencontre fortuite lui permet de faire la connaissance de Sakina, une fille timide, mélancolique et énigmatique qui continue de l’intriguer. Ainsi débute une nouvelle amitié, dans laquelle, avec l’aide de ses meilleures manières, Raj va essayer de conquérir le cœur de Sakina.
Raj est incapable d’accepter le passé qui hante la jeune fille et leur amitié va l’entraîner dans un tourbillon de désir, de folie et de romance.
Le voyage de Raj et de Sakina nous rappelle la fragilité du cœur humain. L’angoisse du couple et son endurance dans la foi nous révèle, à travers la peinture d’émotions tumultueuses, le pouvoir de l’amour inconditionnel.
[Saawariya est une adaptation de la nouvelle de Dostoïevski, ‘Nuits Blanches‘. Ce livre a été à l’origine de deux films: Le Notti Bianche de Luchino Visconti et de Quatre Nuits d’un Rêveur de Robert Bresson]
Raj est un artiste, un esprit libre, un idéaliste et un rêveur. Il est persuadé d’avoir rencontré son rêve ultime lorsqu’il arrive dans un petit village pittoresque. Un endroit entouré par des montagnes, de la brume et enveloppé par la beauté, suffisamment mythique pour être la vision d’un peintre ou la mémoire d’un poète.
Pourtant, la destinée réserve une autre image pour Raj …
Par une nuit silencieuse et étoilée, il aperçoit une fille mystérieuse, drapée de noir, attendant seule sur un pont.
Cette rencontre fortuite lui permet de faire la connaissance de Sakina, une fille timide, mélancolique et énigmatique qui continue de l’intriguer. Ainsi débute une nouvelle amitié, dans laquelle, avec l’aide de ses meilleures manières, Raj va essayer de conquérir le cœur de Sakina.
Raj est incapable d’accepter le passé qui hante la jeune fille et leur amitié va l’entraîner dans un tourbillon de désir, de folie et de romance.
Le voyage de Raj et de Sakina nous rappelle la fragilité du cœur humain. L’angoisse du couple et son endurance dans la foi nous révèle, à travers la peinture d’émotions tumultueuses, le pouvoir de l’amour inconditionnel.
[Saawariya est une adaptation de la nouvelle de Dostoïevski, ‘Nuits Blanches‘. Ce livre a été à l’origine de deux films: Le Notti Bianche de Luchino Visconti et de Quatre Nuits d’un Rêveur de Robert Bresson]
samedi 27 octobre 2007
Sonam: Heureuse de débuter avec Ranbir
Transcription d’un entretien réalisé par Roshmila Bhattacharya.
Ses parents, Anil et Sunita Kapoor, hésitaient à la laisser faire son entrée dans l’univers des studios de cinéma, là où même les anges craignent de s’aventurer. Mais elle était résolue. Cultivée et bien éduquée, Sonam est la fille de Juhu Vile Parle Schème [son lieu de résidence] destinée à conquérir le monde.
Oh, non! Sakina est très différente de moi, et c’est pour cela que je l’aime. Je suis devenue une actrice pour pouvoir interpréter des gens qui ne me ressemblent pas du tout. Je suis une vraie Gémeaux.
On vous compare aux héroïnes du passé aussi bien qu’à Rekha et à Aishwarya Rai.
Noooon. Vraiment? Je ne suis pas au courant de ces comparaisons. C’est effrayant!
Alors, qu’avez-vous entendue?
Il y a eu les réactions aux bandes annonces. Mes amis et les membres de ma famille adorent la façon qu’a Ranbir de danser. Ils sont ébahis par le sens esthétique de M. Bhansali. Ils n’arrêtent pas de vanter les chansons et Salman Khan. [Rire] Je disparaît dès qu’ils commencent à parler de moi.
Quel est ce monde où on trouve aussi bien des gondoles et des pousse-pousses? Jamais-Ville?
Oui, c’est ça: Jamais-Ville. Saawariya est un conte de fées.
Est-ce que Sanjay Leela Bhansali a jamais eu une crise de nerfs à cause de vous? Ou bien vous demander cela revient-il à demander s’il y a de l’eau dans le Gange?
[Rire] C’est vrai qu’il s’est énervé quelques fois. A chaque fois que je voulais éviter qu’il me gronde, mes larmes se mettaient à couler. Il s’apitoyait tellement en me voyant pleurer, qu’il m’appelait sa petite Sona; et il me suggérait l’idée de faire une pause et de manger quelque chose. [Elle étouffe un rire] Il sait que la nourriture me rend toujours heureuse.
Mais vous n’auriez pas pu perdre 30 kilos pour obtenir le rôle si vous vous mettiez à manger tout le temps pour vous consoler.
Je n’ai pas éliminé toute nourriture de mon alimentation, seulement les produits frits et les sucreries. Le sel et le sucre vous tuent en silence. J’ai éliminé le chocolat, les glaces et le riz de mon alimentation, mais je n’ai pas supprimé les repas normaux. Quand vous êtes jeune, il est facile de maigrir. En fait, c’est facile si vous adoptez une alimentation saine et si vous faites du sport quotidiennement. Il est également important de faire un test sanguin pour vous assurer que votre surcharge pondérale n’est pas due à un dérèglement hormonal ou au diabète.
On croit entendre une nutritionniste.
Je dois cela à ma mère … et à mon père, bien entendu. Ce sont des fanatiques du fitness.
Des rumeurs ont laissées entendre que Sanjay Bhansali était très en colère avec Ranbir et vous parce que vous étiez tout le temps en train de flirter sur le tournage.
Je pense que M. Bhansali aurait été vraiment heureux si nous avions flirté. Désolé, mais rien de ce genre ne s’est passé entre nous. Ranbir est un pote, mon meilleur ami. J’ai littéralement grandie avec lui. Rien de plus. C’est un introverti complet, et cela me rend folle. C’est tout un travail que de le convaincre de venir dîner. Je dois le tourmenter pendant cinq jours … avant qu’il dise ‘Peut-être … je verrais.’ »
Il a déjà reçu de nombreux appels menaçants venant de ses groupies parce qu’elles le trouvent trop protecteur à votre égard.
Il toujours été comme ça. [Rire] Mais ses groupies ne doivent pas s’inquiéter à cause de moi. Ranbir est disponible.
Votre père, Anil Kapoor, semble plus nerveux que vous au fur et à mesure que le jour J approche.
Il l’est. Il m’appelle cinq fois par jour.
C’est sympa!
Plus il devient anxieux, et plus je me sens calme.
Apparemment, même votre mère s’arrache les cheveux.
Pas du tout. Elle est plus cool qu’une pastèque. Elle croit au destin … la Gita, etc. Selon elle, il y a une raison pour chaque chose. Je n’ai jamais causé de stress à mes parents. J’ai toujours été cette petite fille ennuyeusement obéissante. Ma sœur me taquine en disant que je suis la complice de mes parents.
N’aviez-vous pas l’intention de vous présenter à l’élection de Miss Inde?
Qui vous a dit cela?
Alors, c’est vrai?
Oui, peut-être. Il y a très longtemps … lorsque Sushmita Sen et Aishwarya Rai ont été couronnées Miss Univers et Miss Monde. Je devais avoir à peine onze ou douze ans. Lara Dutta et Priyanka Chopra ont elles aussi gagnées ces titres, c’était admirable! J’imagine que ce devait être un fantasme enfantin: vouloir devenir Miss Inde … puis Miss Monde.
Vous avez commencé en tant qu’assistante de M. Bhansali. Pourquoi avez-vous abandonné au milieu du tournage de Black?
J’ai complété le tournage de Black. C’était un film tellement spécial.
Votre sœur a-t-elle également l’intention de devenir actrice?
Vous devrez le lui demander. Mais je suis persuadée que mon frère, Harsh, sera une star. Il est le plus grand conseiller de papa.
Le film d’Anil Kapoor que vous préférez?
Il y en a trois, en fait: Mr India, Lamhe et Virasat. J’ai dû avoir visionné Mr India cinq millions de fois. A chaque fois, j’ai été déçue de ne pas pouvoir entrer dans le poste de télé pour rejoindre les autres enfants … ou pour demander à Calendar de faire la cuisine pour moi.
Un film de Rishi Kapoor avec Neetu Singh?
Amar Akbar Anthony. C’est le meilleur film commercial jamais réalisé.
Comment percevez-vous la concurrence que représentent Om Shanti Om et Deepika Padukone?
Vous vous souvenez sans doute que Gadar et Lagaan sont sortis le même jour. C’est bien d’être gâté en ayant le choix. Je ne considère pas Deepika comme une concurrente. Elle est superbe. En tant que mannequin, elle a appris les ficelles du métier. Elle a pris beaucoup d’avance.
Honnêtement, n’auriez-vous pas voulue séduire Shah Rukh Khan et ses abdominaux dans votre premier film?
Honnêtement, je suis reconnaissante que Ranbir soit mon premier partenaire, car j’ai pu être moi-même avec lui. [Sourire] D’accord, je n’ai pas eu Shah Rukh, mais j’ai Salman Khan.
Si vous n’étiez pas une actrice, que seriez-vous?
Un écrivain. Peut-être que j’aurais pu vous chiper votre boulot.
***
On l’a déjà comparée à Madhubala et à Sadhana. Mais il est impossible de nier qu’elle a sa propre personnalité: c’est une fille du nouveau millénaire qui sait quoi penser et ce qu’elle veut.Ses parents, Anil et Sunita Kapoor, hésitaient à la laisser faire son entrée dans l’univers des studios de cinéma, là où même les anges craignent de s’aventurer. Mais elle était résolue. Cultivée et bien éduquée, Sonam est la fille de Juhu Vile Parle Schème [son lieu de résidence] destinée à conquérir le monde.
***
Ranbir Kapoor déclare qu’il adore Ranbir Raj, le personnage qu’il interprète dans Saawariya, parce qu’il lui ressemble beaucoup. Dans quelle mesure vous sentez-vous proche de votre personnage?Oh, non! Sakina est très différente de moi, et c’est pour cela que je l’aime. Je suis devenue une actrice pour pouvoir interpréter des gens qui ne me ressemblent pas du tout. Je suis une vraie Gémeaux.
On vous compare aux héroïnes du passé aussi bien qu’à Rekha et à Aishwarya Rai.
Noooon. Vraiment? Je ne suis pas au courant de ces comparaisons. C’est effrayant!
Alors, qu’avez-vous entendue?
Il y a eu les réactions aux bandes annonces. Mes amis et les membres de ma famille adorent la façon qu’a Ranbir de danser. Ils sont ébahis par le sens esthétique de M. Bhansali. Ils n’arrêtent pas de vanter les chansons et Salman Khan. [Rire] Je disparaît dès qu’ils commencent à parler de moi.
Quel est ce monde où on trouve aussi bien des gondoles et des pousse-pousses? Jamais-Ville?
Oui, c’est ça: Jamais-Ville. Saawariya est un conte de fées.
Est-ce que Sanjay Leela Bhansali a jamais eu une crise de nerfs à cause de vous? Ou bien vous demander cela revient-il à demander s’il y a de l’eau dans le Gange?
[Rire] C’est vrai qu’il s’est énervé quelques fois. A chaque fois que je voulais éviter qu’il me gronde, mes larmes se mettaient à couler. Il s’apitoyait tellement en me voyant pleurer, qu’il m’appelait sa petite Sona; et il me suggérait l’idée de faire une pause et de manger quelque chose. [Elle étouffe un rire] Il sait que la nourriture me rend toujours heureuse.
Mais vous n’auriez pas pu perdre 30 kilos pour obtenir le rôle si vous vous mettiez à manger tout le temps pour vous consoler.
Je n’ai pas éliminé toute nourriture de mon alimentation, seulement les produits frits et les sucreries. Le sel et le sucre vous tuent en silence. J’ai éliminé le chocolat, les glaces et le riz de mon alimentation, mais je n’ai pas supprimé les repas normaux. Quand vous êtes jeune, il est facile de maigrir. En fait, c’est facile si vous adoptez une alimentation saine et si vous faites du sport quotidiennement. Il est également important de faire un test sanguin pour vous assurer que votre surcharge pondérale n’est pas due à un dérèglement hormonal ou au diabète.
On croit entendre une nutritionniste.
Je dois cela à ma mère … et à mon père, bien entendu. Ce sont des fanatiques du fitness.
Des rumeurs ont laissées entendre que Sanjay Bhansali était très en colère avec Ranbir et vous parce que vous étiez tout le temps en train de flirter sur le tournage.
Je pense que M. Bhansali aurait été vraiment heureux si nous avions flirté. Désolé, mais rien de ce genre ne s’est passé entre nous. Ranbir est un pote, mon meilleur ami. J’ai littéralement grandie avec lui. Rien de plus. C’est un introverti complet, et cela me rend folle. C’est tout un travail que de le convaincre de venir dîner. Je dois le tourmenter pendant cinq jours … avant qu’il dise ‘Peut-être … je verrais.’ »
Il a déjà reçu de nombreux appels menaçants venant de ses groupies parce qu’elles le trouvent trop protecteur à votre égard.
Il toujours été comme ça. [Rire] Mais ses groupies ne doivent pas s’inquiéter à cause de moi. Ranbir est disponible.
Votre père, Anil Kapoor, semble plus nerveux que vous au fur et à mesure que le jour J approche.
Il l’est. Il m’appelle cinq fois par jour.
C’est sympa!
Plus il devient anxieux, et plus je me sens calme.
Apparemment, même votre mère s’arrache les cheveux.
Pas du tout. Elle est plus cool qu’une pastèque. Elle croit au destin … la Gita, etc. Selon elle, il y a une raison pour chaque chose. Je n’ai jamais causé de stress à mes parents. J’ai toujours été cette petite fille ennuyeusement obéissante. Ma sœur me taquine en disant que je suis la complice de mes parents.
N’aviez-vous pas l’intention de vous présenter à l’élection de Miss Inde?
Qui vous a dit cela?
Alors, c’est vrai?
Oui, peut-être. Il y a très longtemps … lorsque Sushmita Sen et Aishwarya Rai ont été couronnées Miss Univers et Miss Monde. Je devais avoir à peine onze ou douze ans. Lara Dutta et Priyanka Chopra ont elles aussi gagnées ces titres, c’était admirable! J’imagine que ce devait être un fantasme enfantin: vouloir devenir Miss Inde … puis Miss Monde.
Vous avez commencé en tant qu’assistante de M. Bhansali. Pourquoi avez-vous abandonné au milieu du tournage de Black?
J’ai complété le tournage de Black. C’était un film tellement spécial.
Votre sœur a-t-elle également l’intention de devenir actrice?
Vous devrez le lui demander. Mais je suis persuadée que mon frère, Harsh, sera une star. Il est le plus grand conseiller de papa.
Le film d’Anil Kapoor que vous préférez?
Il y en a trois, en fait: Mr India, Lamhe et Virasat. J’ai dû avoir visionné Mr India cinq millions de fois. A chaque fois, j’ai été déçue de ne pas pouvoir entrer dans le poste de télé pour rejoindre les autres enfants … ou pour demander à Calendar de faire la cuisine pour moi.
Un film de Rishi Kapoor avec Neetu Singh?
Amar Akbar Anthony. C’est le meilleur film commercial jamais réalisé.
Comment percevez-vous la concurrence que représentent Om Shanti Om et Deepika Padukone?
Vous vous souvenez sans doute que Gadar et Lagaan sont sortis le même jour. C’est bien d’être gâté en ayant le choix. Je ne considère pas Deepika comme une concurrente. Elle est superbe. En tant que mannequin, elle a appris les ficelles du métier. Elle a pris beaucoup d’avance.
Honnêtement, n’auriez-vous pas voulue séduire Shah Rukh Khan et ses abdominaux dans votre premier film?
Honnêtement, je suis reconnaissante que Ranbir soit mon premier partenaire, car j’ai pu être moi-même avec lui. [Sourire] D’accord, je n’ai pas eu Shah Rukh, mais j’ai Salman Khan.
Si vous n’étiez pas une actrice, que seriez-vous?
Un écrivain. Peut-être que j’aurais pu vous chiper votre boulot.
mercredi 24 octobre 2007
Appréhensions de débutants
Sonam et Ranbir Kapoor étaient dans la capitale indienne, New Delhi, ce mardi pour la promotion de Saawariya. Interrogés par la presse, ils ont reconnus être angoissés par la sortie prochaine de leur film, surtout du fait que cela va coïncider avec la sortie de Om Shanti Om - dont la vedette n’est autre que Shah Rukh Khan.
Pourtant, cela ne les a pas empêchés de faire preuve d’humour et de désinvolture pendant la session de questions-réponses avec les médias. Ils ont même été très à l’aise pour réagir à des interrogations parfois délicates, comme lorsqu’on leur a demandé s’ils avaient ressentis de la gêne pendant les scènes d’amour. Sonam a ainsi répondue: « Nous sommes de très bons amis. Je connais Ranbir depuis qu’il est petit et j’ai gardé cette image de lui en tête au moment de jouer ces scènes romantiques. Je suis très heureuse qu’il soit mon premier partenaire à l’écran. »
Concernant le fait d’être la fille d’un acteur célèbre, elle enchaîna: « Être enfant de star présente aussi bien des avantages que des inconvénients. Je n’aurais jamais rencontré Sanjay Leela Bhansali si je n’avais pas été la fille d’Anil Kapoor. Mais je porte également une sorte de fardeau: on va constamment me comparer à mon père. Les débuts sont facilités, mais le chemin qui mène au succès est très difficile », dit Sonam, qui était vêtue pour l’occasion d’un salwar kurta traditionnel.
Elle ajouta: « De toute façon, c’est le public qui décide qui il accepte et qui il rejette. Actuellement, vous remarquerez que les plus grandes vedettes ne sont pas des enfants de stars. Que ce soit Shah Rukh Khan, Priyanka Chopra, Aishwarya Rai …, aucun d’eux ne descend d’une famille d’artistes de cinéma. »
Sonam précise qu’elle n’avait jamais eue l’intention de devenir une actrice. « Je souhaitais juste devenir assistante de réalisateur. Je voulais travailler pendant deux ans, apprendre le métier et retourner à l’université. Heureusement, le destin a joué un si beau rôle. M. Bhansali m’a dit: ‘‘Tu pèse 80 kilos, mais tu es très belle et tu es l’actrice principale de mon prochain film.’’ Et me voilà aujourd’hui. »
« Je suis une fille Pendjabie [originaire de l’Etat du Pendjab]. Mes parents savent que dans quatre ou cinq ans, je serais mariée. Mais ils m’ont dit que si je pensais que travailler dans le cinéma me rendrait heureuse, alors il fallait le faire. »
Pourtant, cela ne les a pas empêchés de faire preuve d’humour et de désinvolture pendant la session de questions-réponses avec les médias. Ils ont même été très à l’aise pour réagir à des interrogations parfois délicates, comme lorsqu’on leur a demandé s’ils avaient ressentis de la gêne pendant les scènes d’amour. Sonam a ainsi répondue: « Nous sommes de très bons amis. Je connais Ranbir depuis qu’il est petit et j’ai gardé cette image de lui en tête au moment de jouer ces scènes romantiques. Je suis très heureuse qu’il soit mon premier partenaire à l’écran. »
Concernant le fait d’être la fille d’un acteur célèbre, elle enchaîna: « Être enfant de star présente aussi bien des avantages que des inconvénients. Je n’aurais jamais rencontré Sanjay Leela Bhansali si je n’avais pas été la fille d’Anil Kapoor. Mais je porte également une sorte de fardeau: on va constamment me comparer à mon père. Les débuts sont facilités, mais le chemin qui mène au succès est très difficile », dit Sonam, qui était vêtue pour l’occasion d’un salwar kurta traditionnel.
Elle ajouta: « De toute façon, c’est le public qui décide qui il accepte et qui il rejette. Actuellement, vous remarquerez que les plus grandes vedettes ne sont pas des enfants de stars. Que ce soit Shah Rukh Khan, Priyanka Chopra, Aishwarya Rai …, aucun d’eux ne descend d’une famille d’artistes de cinéma. »
Sonam précise qu’elle n’avait jamais eue l’intention de devenir une actrice. « Je souhaitais juste devenir assistante de réalisateur. Je voulais travailler pendant deux ans, apprendre le métier et retourner à l’université. Heureusement, le destin a joué un si beau rôle. M. Bhansali m’a dit: ‘‘Tu pèse 80 kilos, mais tu es très belle et tu es l’actrice principale de mon prochain film.’’ Et me voilà aujourd’hui. »
« Je suis une fille Pendjabie [originaire de l’Etat du Pendjab]. Mes parents savent que dans quatre ou cinq ans, je serais mariée. Mais ils m’ont dit que si je pensais que travailler dans le cinéma me rendrait heureuse, alors il fallait le faire. »
mardi 23 octobre 2007
Bhansali: Saawariya est une histoire d’amour intense
« Il me faut beaucoup de temps pour décider de l’atmosphère et du parfum d’un film. Ce processus me prend plus d’une année. Et j’ai besoin d’explorer un sentier différent à chaque fois. Mon intention n’est pas de gagner de l’argent, mais de faire ce qui me vient naturellement à l’esprit. »
« Le concept de Saawariya est très différent de tout ce que j’ai fait jusqu’à présent. J’avais envie de passer de la profonde intensité de Black à la joie de vivre absolue de Saawariya. Après Black, je souhaitais voir une fleur éclore et le soleil briller. Bien entendu, c’est une histoire d’amour intense. Mais l’étincelle de la passion adolescente est tellement revigorante. C’était cela que je voulais ressentir. »
« Lorsque je tournais Saawariya, j’éprouvais le sentiment intense de vivre. Je ne souhaitais pas faire un film pour les spectateurs qui viennent, mangent leur pop-corn et rentrent chez eux. Avec Saawariya, j’ai l’impression que tous mes sens se sont de nouveau réveillés. »
« Comme il s’agissait d’un film sur l’amour adolescent, je ne pouvais pas prendre des acteurs vétérans. Il fallait que ce soit des nouveaux artistes. Et pourquoi pas Ranbir et Sonam? Ce sont des découvertes étonnantes. Je n’ai pas mis en scène Saawariya pour lancer les carrières de Ranbir et de Sonam. Mais, c’est vrai que ce film leur offre une chance de prouver leur talent. Leur fraîcheur apporte énormément à l’histoire d’amour. Ils viennent de familles qui comptent beaucoup dans le monde du cinéma. »
« Le concept de Saawariya est très différent de tout ce que j’ai fait jusqu’à présent. J’avais envie de passer de la profonde intensité de Black à la joie de vivre absolue de Saawariya. Après Black, je souhaitais voir une fleur éclore et le soleil briller. Bien entendu, c’est une histoire d’amour intense. Mais l’étincelle de la passion adolescente est tellement revigorante. C’était cela que je voulais ressentir. »
« Lorsque je tournais Saawariya, j’éprouvais le sentiment intense de vivre. Je ne souhaitais pas faire un film pour les spectateurs qui viennent, mangent leur pop-corn et rentrent chez eux. Avec Saawariya, j’ai l’impression que tous mes sens se sont de nouveau réveillés. »
« Comme il s’agissait d’un film sur l’amour adolescent, je ne pouvais pas prendre des acteurs vétérans. Il fallait que ce soit des nouveaux artistes. Et pourquoi pas Ranbir et Sonam? Ce sont des découvertes étonnantes. Je n’ai pas mis en scène Saawariya pour lancer les carrières de Ranbir et de Sonam. Mais, c’est vrai que ce film leur offre une chance de prouver leur talent. Leur fraîcheur apporte énormément à l’histoire d’amour. Ils viennent de familles qui comptent beaucoup dans le monde du cinéma. »
Ranbir Kapoor et les émotions de Saawariya
« Saawariya est un film situé dans une époque inconnue et dans un lieu que personne n’a jamais visité. Mais, on peut toujours s’identifier aux personnages, à l’époque et au lieu. »
« Saawariya est un film de pur divertissement; il n’est en rien sombre, comme on a pu le dire. Quand vous verrez le film, vous aurez un sourire aux lèvres et une larme à l’œil[…] Je vous promets que vous ne serez pas déçu après l’avoir vu. »
« Sonam est une personne très chaleureuse. C’est une fille honnête qui travaille dur, et qui possède la même passion et le même dévouement que son père. Elle a apportée tout cela sur le tournage. Elle n’a pas fait de caprice. Au contraire, elle nous a apportée tout son soutien et nous avons été constamment là l’un pour l’autre. C’est d’ailleurs une agréable coïncidence que nous commencions nos carrières respectives ensemble avec Saawariya. Sonam m’a beaucoup donné dans ce film et j’espère travailler encore avec elle dans un futur proche. »
« Être en situation de surpoids et devoir perdre du poids pour un rôle [Sonam Kapoor a perdue presque 30 kilos pour pouvoir être engagée dans Saawariya] demande de travailler dur et d’être appliqué. C’était une question de vie ou de mort pour Sonam, parce qu’elle essayait de maigrir pour devenir une actrice. Il fallait qu’elle soit parfaite pour le rôle. Et regardez-là à présent, elle est superbe. Ce n’est pas facile. Ce n’est pas à la portée de tout le monde. J’ai tellement d’amis qui essaient de perdre du poids depuis des années et qui n’y parviennent pas. Sonam a réussit à maigrir uniquement parce qu’elle était concentrée et parce qu’elle a un esprit fort. »
« Saawariya est un film de pur divertissement; il n’est en rien sombre, comme on a pu le dire. Quand vous verrez le film, vous aurez un sourire aux lèvres et une larme à l’œil[…] Je vous promets que vous ne serez pas déçu après l’avoir vu. »
« Sonam est une personne très chaleureuse. C’est une fille honnête qui travaille dur, et qui possède la même passion et le même dévouement que son père. Elle a apportée tout cela sur le tournage. Elle n’a pas fait de caprice. Au contraire, elle nous a apportée tout son soutien et nous avons été constamment là l’un pour l’autre. C’est d’ailleurs une agréable coïncidence que nous commencions nos carrières respectives ensemble avec Saawariya. Sonam m’a beaucoup donné dans ce film et j’espère travailler encore avec elle dans un futur proche. »
« Être en situation de surpoids et devoir perdre du poids pour un rôle [Sonam Kapoor a perdue presque 30 kilos pour pouvoir être engagée dans Saawariya] demande de travailler dur et d’être appliqué. C’était une question de vie ou de mort pour Sonam, parce qu’elle essayait de maigrir pour devenir une actrice. Il fallait qu’elle soit parfaite pour le rôle. Et regardez-là à présent, elle est superbe. Ce n’est pas facile. Ce n’est pas à la portée de tout le monde. J’ai tellement d’amis qui essaient de perdre du poids depuis des années et qui n’y parviennent pas. Sonam a réussit à maigrir uniquement parce qu’elle était concentrée et parce qu’elle a un esprit fort. »
lundi 22 octobre 2007
Sonam Kapoor veut jouer dans un film du Sud
Peu de gens savent qu’avant de devenir une vedette du cinéma de langue Hindi, le Bollywood comme on l’appelle communément, Anil Kapoor a été la tête d’affiche d’un film en Kannada (dialecte parlé dans l’Etat du Karnataka). Ce film intitulé Pallavi Anu Pallavi, mis en scène par l’immense réalisateur Mani Ratnam (l’auteur des récents Yuva et Guru), fut un immense succès à l’époque.
Sonam Kapoor a récemment lancé un appel afin de tourner dans un film en langue Kannada dans le futur. Il est très rare que les comédiennes de Bollywood ait ce plan de carrière dès leurs débuts à l’écran; en général, cela vient plutôt lorsque les grands producteurs de Mumbai ne font plus appel à elles. Alors, Sonam a-t-elle un véritable coup de cœur pour un cinéma régional qui a autrefois donné sa chance à son père, Anil Kapoor, ou souhaite-t-elle, tout simplement, être une actrice indienne avec le registre linguistique le plus étendu? Une artiste qui ne se refuse rien, ça nous change de toutes les starlettes prétentieuses qui, avant même le tournage de leur film, crient haut et fort qu’elles veulent travailler pour Yash Chopra, Sanjay Leela Bhansali, Karan Johar, Ashutosh Gowariker, Rakeysh Omprakash Mehra ou Farhan Akhtar. Un peu de modestie, mesdemoiselles!
Sonam Kapoor a récemment lancé un appel afin de tourner dans un film en langue Kannada dans le futur. Il est très rare que les comédiennes de Bollywood ait ce plan de carrière dès leurs débuts à l’écran; en général, cela vient plutôt lorsque les grands producteurs de Mumbai ne font plus appel à elles. Alors, Sonam a-t-elle un véritable coup de cœur pour un cinéma régional qui a autrefois donné sa chance à son père, Anil Kapoor, ou souhaite-t-elle, tout simplement, être une actrice indienne avec le registre linguistique le plus étendu? Une artiste qui ne se refuse rien, ça nous change de toutes les starlettes prétentieuses qui, avant même le tournage de leur film, crient haut et fort qu’elles veulent travailler pour Yash Chopra, Sanjay Leela Bhansali, Karan Johar, Ashutosh Gowariker, Rakeysh Omprakash Mehra ou Farhan Akhtar. Un peu de modestie, mesdemoiselles!
dimanche 21 octobre 2007
Salman Khan vole au secours de Sonam Kapoor
La semaine dernière, les acteurs du film Saawariya étaient les invités d’une soirée en l’honneur des joueurs des équipes nationales indienne et australienne de cricket. Les acteurs devaient, pour l’occasion, interviewer les stars sportives.
Exercice difficile pour Sonam Kapoor, qui s’est brûlée les doigts en voulant jouer à la journaliste de la presse people. Elle a été trop curieuse en demandant au joueur Yuvraj Singh: « Vous êtes le seul joueur de cricket à figurer dans les pages people des journaux, toujours accompagné des plus belles filles. Alors, avec qui êtes vous ce soir? »
Yuvi, c’est le surnom donné à Yuvraj Singh, ne tarda pas à lui renvoyer la balle, comme cela se fait dans son sport favori. Il répondit à la jeune fille, du tac au tac: « Que faites-vous ce soir, Sonam? »
Sonam fut choquée. Elle ne s’attendait pas à une réponse aussi suggestive. D’ailleurs, l’assistance fut également saisie par la provocation de Yuvi. Le silence s’abattit sur le café où l’événement avait lieu. Tout le monde attendait la réponse de Sonam. La pauvre fille ne savait vraiment pas quoi répondre.
C’est alors que Salman Khan, qui joue un rôle-clé dans Saawariya, vola, tel un chavalier, au secours de la jeune fille. Il se saisit du micro et lança: « Yuvraj, Sonam sort avec moi ce soir », dénouant la situation en provoquant les rires de l’assistance.
Espérons que Sonam soit plus prudente la prochaine fois. Elle retiendra peut-être une leçon de cet incident malheureux: certains hommes, comme Yuvraj, ne sont guère fair-play et il ne faut pas croire que tous les hommes ont un comportement de gentleman comme Salman Khan.
Exercice difficile pour Sonam Kapoor, qui s’est brûlée les doigts en voulant jouer à la journaliste de la presse people. Elle a été trop curieuse en demandant au joueur Yuvraj Singh: « Vous êtes le seul joueur de cricket à figurer dans les pages people des journaux, toujours accompagné des plus belles filles. Alors, avec qui êtes vous ce soir? »
Yuvi, c’est le surnom donné à Yuvraj Singh, ne tarda pas à lui renvoyer la balle, comme cela se fait dans son sport favori. Il répondit à la jeune fille, du tac au tac: « Que faites-vous ce soir, Sonam? »
Sonam fut choquée. Elle ne s’attendait pas à une réponse aussi suggestive. D’ailleurs, l’assistance fut également saisie par la provocation de Yuvi. Le silence s’abattit sur le café où l’événement avait lieu. Tout le monde attendait la réponse de Sonam. La pauvre fille ne savait vraiment pas quoi répondre.
C’est alors que Salman Khan, qui joue un rôle-clé dans Saawariya, vola, tel un chavalier, au secours de la jeune fille. Il se saisit du micro et lança: « Yuvraj, Sonam sort avec moi ce soir », dénouant la situation en provoquant les rires de l’assistance.
Espérons que Sonam soit plus prudente la prochaine fois. Elle retiendra peut-être une leçon de cet incident malheureux: certains hommes, comme Yuvraj, ne sont guère fair-play et il ne faut pas croire que tous les hommes ont un comportement de gentleman comme Salman Khan.
vendredi 19 octobre 2007
Jeux d’adolescents
La journaliste Piali Banerjee a récemment eue l’occasion de rencontrer les deux jeunes acteurs de Saawariya. Nous avons traduits son papier pour vous.
C’est un cadre parfait pour rencontrer deux jeunes gens prêts à s’enthousiasmer: la superbe chambre de Ranbir Kapoor, avec tous ses tiroirs ouverts, ses vêtements pendants hors des armoires, d’autres étendus sur le lit, des dossiers et des livres recouvrant la totalité de son bureau. La seule chose ayant fait l’objet d’un peu d’attention dans ce désordre est un poster géant de Saawariya, qui occupe une place d’honneur au centre de la chambre. Ranbir et Sonam Kapoor se vautrent là dans un état d’excitation intense. (Ils vont faire leurs débuts à l’écran ensemble dans le film de Sanjay Leela Bhansali, Saawariya, lors de la prochaine fête de Diwali).
Ils ont la vingtaine, et ne croient de toute évidence pas à la retenue. « Zut, j’ai donnée une interview à la télé dans laquelle j’ai dit que ma sœur croit que le soleil brille depuis mes parties inférieures », dit Sonam en riant. « Ils vont couper la séquence au montage, n’est-ce pas? ». Nous lui rétorquons que les chances sont faibles. Ce qui provoque des vagues de fous rires. « Au moins, je n’ai pas prononcé le mot _ _ _! »
Est-ce la pression ou la joie qui la fait parler ainsi? « Non. Ranbir a une tonne de pression sur ses épaules. Je n’ai pas autant de stress », répond-elle de bon cœur.
Mais elle aussi doit être à la hauteur, avec un père comme Anil Kapoor. « Je n’ai pas autant de choses à prouver que Ranbir. Lui doit faire face à toute la famille de Raj Kapoor », dit-elle avec insistance.
Ranbir, qui jusqu’à présent se contentait de regarder sa copine d’enfance devenue partenaire à l’écran, se réveille et demande indigné: « Hé! Pourquoi me mets tu autant la pression? »
Est-ce le genre de pression qui provoque des nuits blanches? « Non, nous dormons beaucoup », répond Sonam. Ranbir lui rétorque: « On va sous-entendre des choses terribles si on imprime ce que tu viens de dire. Il vaudrait mieux que tu reformules ta phrase. » On est d’accord avec lui. Mais Sonam est tellement prise par son fou rire qu’elle ne recompose pas sa phrase.
L’entente entre eux est évidente. Ranbir est l’incarnation de la raison et du calme. Sonam laisse exprimer ses pulsions et ses émotions. Ranbir écoute. Sonam parle. Ranbir réfléchit un millier de fois avant de jouer une scène, Sonam réagit sans se prendre la tête.
« Sonam est la reine de l’art dramatique, c’est la Meena Kumari d’aujourd’hui », déclare Ranbir, prenant une pose dramatique tout en souriant. « Tous les jours je me rendais sur le plateau en me demandant quel allait être le prochain épisode des facéties de Sonam. »
« Comment peux-tu être si cool et si maître de toi? », lui demande Sonam.
« Essaies de remettre les choses au lendemain au moment où tu dois réagir et tu y arriveras! », plaisante Ranbir. « Mais, ça va, j’aime ton honnêteté. » Il se tourne vers nous, et se rappelle de notre présence. « Elle est exactement comme elle est dans la vie, sans prétention. Elle est comme cela lorsqu’elle est toute seule, avec des amis proches, avec cent personnes autour d’elle et face aux médias. »
Pourquoi Ranbir n’essaie-t-il pas d’exprimer ses émotions, une fois pour toutes? Et quel meilleur sujet trouver pour le faire que Saawariya? « Oh! J’ai beaucoup d’affection pour Saawariya », déclare Ranbir. « Le jour où on a lancé la musique de Saawariya, j’ai perdu mes eaux. »
« Tu veux dire que tu as pleuré? », demande Sonam avec curiosité.
« Non, je veux dire que j’ai perdu mes eaux comme une femme enceinte pendant l’accouchement », répond-il, pince sans rire.
Sonam s’étrangle en riant à la tentative de Ranbir d’être dramatique. « N’écrivez pas cela, s’il-vous-plaît, n’écrivez pas cela », plaide-t-elle. « Il n’a rien dit. Je m’excuse pour lui. »
***
Les adolescents de Saawariya s’amusent sans aucune inhibition. Voici Ranbir et Sonam sans retenue.C’est un cadre parfait pour rencontrer deux jeunes gens prêts à s’enthousiasmer: la superbe chambre de Ranbir Kapoor, avec tous ses tiroirs ouverts, ses vêtements pendants hors des armoires, d’autres étendus sur le lit, des dossiers et des livres recouvrant la totalité de son bureau. La seule chose ayant fait l’objet d’un peu d’attention dans ce désordre est un poster géant de Saawariya, qui occupe une place d’honneur au centre de la chambre. Ranbir et Sonam Kapoor se vautrent là dans un état d’excitation intense. (Ils vont faire leurs débuts à l’écran ensemble dans le film de Sanjay Leela Bhansali, Saawariya, lors de la prochaine fête de Diwali).
Ils ont la vingtaine, et ne croient de toute évidence pas à la retenue. « Zut, j’ai donnée une interview à la télé dans laquelle j’ai dit que ma sœur croit que le soleil brille depuis mes parties inférieures », dit Sonam en riant. « Ils vont couper la séquence au montage, n’est-ce pas? ». Nous lui rétorquons que les chances sont faibles. Ce qui provoque des vagues de fous rires. « Au moins, je n’ai pas prononcé le mot _ _ _! »
Est-ce la pression ou la joie qui la fait parler ainsi? « Non. Ranbir a une tonne de pression sur ses épaules. Je n’ai pas autant de stress », répond-elle de bon cœur.
Mais elle aussi doit être à la hauteur, avec un père comme Anil Kapoor. « Je n’ai pas autant de choses à prouver que Ranbir. Lui doit faire face à toute la famille de Raj Kapoor », dit-elle avec insistance.
Ranbir, qui jusqu’à présent se contentait de regarder sa copine d’enfance devenue partenaire à l’écran, se réveille et demande indigné: « Hé! Pourquoi me mets tu autant la pression? »
Est-ce le genre de pression qui provoque des nuits blanches? « Non, nous dormons beaucoup », répond Sonam. Ranbir lui rétorque: « On va sous-entendre des choses terribles si on imprime ce que tu viens de dire. Il vaudrait mieux que tu reformules ta phrase. » On est d’accord avec lui. Mais Sonam est tellement prise par son fou rire qu’elle ne recompose pas sa phrase.
L’entente entre eux est évidente. Ranbir est l’incarnation de la raison et du calme. Sonam laisse exprimer ses pulsions et ses émotions. Ranbir écoute. Sonam parle. Ranbir réfléchit un millier de fois avant de jouer une scène, Sonam réagit sans se prendre la tête.
« Sonam est la reine de l’art dramatique, c’est la Meena Kumari d’aujourd’hui », déclare Ranbir, prenant une pose dramatique tout en souriant. « Tous les jours je me rendais sur le plateau en me demandant quel allait être le prochain épisode des facéties de Sonam. »
« Comment peux-tu être si cool et si maître de toi? », lui demande Sonam.
« Essaies de remettre les choses au lendemain au moment où tu dois réagir et tu y arriveras! », plaisante Ranbir. « Mais, ça va, j’aime ton honnêteté. » Il se tourne vers nous, et se rappelle de notre présence. « Elle est exactement comme elle est dans la vie, sans prétention. Elle est comme cela lorsqu’elle est toute seule, avec des amis proches, avec cent personnes autour d’elle et face aux médias. »
Pourquoi Ranbir n’essaie-t-il pas d’exprimer ses émotions, une fois pour toutes? Et quel meilleur sujet trouver pour le faire que Saawariya? « Oh! J’ai beaucoup d’affection pour Saawariya », déclare Ranbir. « Le jour où on a lancé la musique de Saawariya, j’ai perdu mes eaux. »
« Tu veux dire que tu as pleuré? », demande Sonam avec curiosité.
« Non, je veux dire que j’ai perdu mes eaux comme une femme enceinte pendant l’accouchement », répond-il, pince sans rire.
Sonam s’étrangle en riant à la tentative de Ranbir d’être dramatique. « N’écrivez pas cela, s’il-vous-plaît, n’écrivez pas cela », plaide-t-elle. « Il n’a rien dit. Je m’excuse pour lui. »
Faisons une deuxième tentative pour élever le niveau dramatique de l’entretien. Comment se sent-il, à présent que le tournage de Saawariya est achevé? « Je me sens comme un père qui donne sa fille en mariage », dit Ranbir. Sonam rit aux éclats. Il n’y a plus de doute possible. Ranbir est désespérément incapable de montrer une quelconque aptitude pour le drame ou les émotions, hors écran. Il devrait se contenter de rester calmement rationnel.
Ces jeunes gens ne sont pas autorisés à en dire trop sur le film. « C’est très bien ainsi. Sinon, Sonam vous aurait, sur le champ, raconté le scénario du début à la fin », dit Ranbir. « Demandez-lui son avis sur un livre, et elle vous racontera toute l’intrigue. Après, elle vous parlera d’un autre livre et vous en racontera toute l’histoire également. »
Alors, quel livre Sonam lit-elle en ce moment? « Je suis en train de lire Au Cœur du Royaume - Ma Vie en Arabie Saoudite (Inside The Kingdom: My Life in Saudi Arabia). C’est un livre sur Oussama Ben Laden, écrit par sa propre belle sœur, Carmen Ben Laden. Elle est une Irano-Suissesse qui a grandie à Genève et qui a épousée un frère de Ben Laden aux Etats-Unis. Elle s’est ensuite installée en Arabie Saoudite où elle a été sonnée par la soi-disant culture étouffante qui existe là-bas. Après cela, son mariage a échoué et elle s’est réfugiée en Suisse. Puis… »
« Vous voyez ce que je veux dire? » demande sournoisement Ranbir, en l’interrompant.
Contrairement à Sonam, est-ce qu’il trouve difficile de s’exprimer, spécialement pendant les entretiens avec les médias? « Oh! Je peux parler au sujet de la cuisine, presque autant que j’ai parlé ces derniers jours, depuis que nous avons commencés la promotion du film », dit-il.
Ranbir nous fait remarquer qu’il est étrange que deux personnes se retrouvent exactement au même endroit de leur vie - il parle de Sonam et de lui-même - avec les mêmes espoirs et les mêmes angoisses. Cette année, Diwali sera différent pour les deux jeunes gens, à cause de leurs débuts au cinéma. « Oui, c’est vrai », dit Sonam, qui finit par faire une nouvelle digression: « Hé! Ca va être la fête de mon frangin le 10, tu devrais venir », dit-elle à Ranbir.
« C’est vraiment pas le moment de m’inviter à une fête », lui répond Ranbir. « Tu es en train de donner une interview. »
L’enthousiasme des deux jeunes gens est fantastique. Mais, n’en déplaise à Dieu, qu’adviendra-t-il si Saawariya ne marchait pas? Pour la première fois, il y a un silence de mort et les deux acteurs se regardent.
Puis ils finissent par briser le silence. « Le film va marcher », dit Ranbir.
« Nous sommes jeunes et optimistes. Le film va marcher », dit Sonam.
Amen.
mercredi 17 octobre 2007
Ranbir et Sonam: des sentiments partagés
Lorsqu’on demande à Ranbir Kapoor s’il a apprécié sa collaboration avec Sonam Kapoor pendant le tournage de Saawariya, voici ce qu’il répond:
« Oh! Nous avons grandis ensemble. Nos familles sont amies depuis longtemps: tout d’abord nos grands-parents, puis nos parents et finalement elle et moi. Elle est une très bonne personne, et en plus de cela, c’est également une actrice extrêmement talentueuse. Elle est à cent pour cent dans ce qu‘elle fait. Si elle aime quelque chose, elle le dit; si elle ne l’apprécie pas, elle le dit. Tout est soit noir soit blanc pour elle, il n’y a pas de demie-mesure. Et, vous savez, nous sommes actuellement les deux seules personnes qui ressentons la même chose en même temps. Et le fait de partager la même nervosité, la même anxiété, et la même excitation a permis à notre amitié de se développer. Nous avons des attentes identiques et nous partageons beaucoup ensemble. Je pense donc que nous sommes des amis très proches et que notre relation s’est renforcée parce que nous avons tournés notre premier film ensemble. »
« Oh! Nous avons grandis ensemble. Nos familles sont amies depuis longtemps: tout d’abord nos grands-parents, puis nos parents et finalement elle et moi. Elle est une très bonne personne, et en plus de cela, c’est également une actrice extrêmement talentueuse. Elle est à cent pour cent dans ce qu‘elle fait. Si elle aime quelque chose, elle le dit; si elle ne l’apprécie pas, elle le dit. Tout est soit noir soit blanc pour elle, il n’y a pas de demie-mesure. Et, vous savez, nous sommes actuellement les deux seules personnes qui ressentons la même chose en même temps. Et le fait de partager la même nervosité, la même anxiété, et la même excitation a permis à notre amitié de se développer. Nous avons des attentes identiques et nous partageons beaucoup ensemble. Je pense donc que nous sommes des amis très proches et que notre relation s’est renforcée parce que nous avons tournés notre premier film ensemble. »
samedi 13 octobre 2007
Les produits dérivés de Saawariya
Les acteurs de Saawariya ont lancés le week-end dernier toute une série de produits dérivés du film. Les producteurs du prochain long-métrage de Sanjay Leela Bhansali se sont en effet engagés dans une grande opération marketing à l’américaine, ce qui nous surprend un peu de la part de ce réalisateur plutôt atypique dans le monde de Bollywood.
Les articles vendus sont très divers. Ils vont des vêtements siglés Saawariya, à des produits cosmétiques, en passant par du linge de maison et de toilette, des casquettes (peut-être verra-t-on prochainement le chanteur Himesh Reshammiya en porter une), des badges, des bracelets, des tasses à café et même des effets de papeterie scolaire.
Ces objets seront en vente dans plusieurs chaînes de grands magasins en Inde, en particulier chez Pantaloons et Big Bazaar. Les interprètes de Saawariya, Ranbir et Sonam Kapoor, se rendront dans plusieurs de ces magasins pour assurer la promotion couplée du film et de ses produits dérivés. Comme quoi, Bollywood est en train de dériver gravement vers les penchants mercantilistes des grosses productions américaines.
On attend quand même de voir ce que cela peut donner si jamais ces produits seront en vente dans les grands magasins du Boulevard Haussmann (il est permis de rêver). Qui sait? Peut-être que la magie Saawariya opérera aussi dans les rayons et que nous finirons par succomber!
Les articles vendus sont très divers. Ils vont des vêtements siglés Saawariya, à des produits cosmétiques, en passant par du linge de maison et de toilette, des casquettes (peut-être verra-t-on prochainement le chanteur Himesh Reshammiya en porter une), des badges, des bracelets, des tasses à café et même des effets de papeterie scolaire.
Ces objets seront en vente dans plusieurs chaînes de grands magasins en Inde, en particulier chez Pantaloons et Big Bazaar. Les interprètes de Saawariya, Ranbir et Sonam Kapoor, se rendront dans plusieurs de ces magasins pour assurer la promotion couplée du film et de ses produits dérivés. Comme quoi, Bollywood est en train de dériver gravement vers les penchants mercantilistes des grosses productions américaines.
On attend quand même de voir ce que cela peut donner si jamais ces produits seront en vente dans les grands magasins du Boulevard Haussmann (il est permis de rêver). Qui sait? Peut-être que la magie Saawariya opérera aussi dans les rayons et que nous finirons par succomber!
jeudi 11 octobre 2007
Sonam Kapoor courtisée par l’industrie cosmétique
Sonam Kapoor a effectuée sa première apparition de star en dehors des opérations de promotion propres à la sortie prochaine du film Saawariya. La jeune fille était en effet récemment l’invitée d’honneur d’une soirée de lancement pour une marque internationale de cosmétiques.
Elle a littéralement charmée le public présent par son élégance. Elle était vêtue d’un salwaar de soie rouge brodé d’or. A cette occasion, Sonam a invitée son auditoire à faire bon accueil à son film. « Venez voir Saawariya, et venez nous encourager, Ranbir et moi. C’est notre premier film ensemble. »
Elle poursuivit en rappellant: « Si je suis ici aujourd’hui, je le dois à mes parents et c’est aussi grâce à Sanjay Leela Bhansali qui m’a jugée digne de jouer dans son film. Tout ce que je souhaite, c’est qu’ils soient à présent fiers de moi. »
Sonam a saisi l’opportunité du lancement de produits de beauté pour plaisanter sur la pilosité légendaire de son père, Anil Kapoor: « Vous auriez vus mon père! Il est tellement velu. Ce produit doit lui convenir à merveille. » [Ceux qui n’ont vus cet acteur que dans Musafir, ne peuvent pas imaginer à quel point il est velu. Dans le film Rajkumar, Naseeruddin Shah lui demande même s’il n’est pas un ours]. Un humour poilant, comme on dit!
Elle a littéralement charmée le public présent par son élégance. Elle était vêtue d’un salwaar de soie rouge brodé d’or. A cette occasion, Sonam a invitée son auditoire à faire bon accueil à son film. « Venez voir Saawariya, et venez nous encourager, Ranbir et moi. C’est notre premier film ensemble. »
Elle poursuivit en rappellant: « Si je suis ici aujourd’hui, je le dois à mes parents et c’est aussi grâce à Sanjay Leela Bhansali qui m’a jugée digne de jouer dans son film. Tout ce que je souhaite, c’est qu’ils soient à présent fiers de moi. »
Sonam a saisi l’opportunité du lancement de produits de beauté pour plaisanter sur la pilosité légendaire de son père, Anil Kapoor: « Vous auriez vus mon père! Il est tellement velu. Ce produit doit lui convenir à merveille. » [Ceux qui n’ont vus cet acteur que dans Musafir, ne peuvent pas imaginer à quel point il est velu. Dans le film Rajkumar, Naseeruddin Shah lui demande même s’il n’est pas un ours]. Un humour poilant, comme on dit!
mercredi 10 octobre 2007
Sonam Kapoor vue par Sanjay Leela Bhansali
« Sonam est naturelle. Au risque de paraître présomptueux, elle est la jeune Rekha avec laquelle j’ai toujours rêvé de travailler. Elle a bon cœur et possède une certaine insouciance. Elle manie l’écriture, la peinture, l’art floral; elle a de la magie dans ses mains. Selon la légende, lorsqu’elle était toute petite, elle s’était plaint à Rekha que tout le monde disait d’elle qu’elle avait la peau brune. Alors, Rekha est allée chez elle et lui a dit: « Tu es mon bébé ». Depuis ce jour, elle est toujours restée la préférée de Rekha. »
« Sonam est intègre, j’adore cette qualité en elle. Elle dit ce qu’elle pense sans détours. Même quant elle sera une star, je sais qu’elle gardera le contact avec moi. »
« J’ai gâté ces enfants [Ranbir Kapoor et Sonam Kapoor] pour la vie. Ils m’ont gâtés en retour. Je ne sais pas comment nous allons travailler séparément, sans être ensemble dorénavant. Ma relation avec Sonam et Ranbir fut semblable à celle vécue par Amitabh et Rani Mukherjee dans Black. Je suis asséché maintenant. Tout ce que je pouvais donner, je l’ai donné à ces jeunes gens. »
« Ce qui les distingue, c’est la culture et leur éducation. Ranbir et Sonam sont issus de très belles lignées. Leur parents me les ont confiés sans faire aucune ingérence. J’ai dû inviter Neetu à venir visionner les clips de Ranbir. Sunita, la mère de Sonam, était sur le tournage parce qu’une fille a naturellement besoin d’être chaperonnée. Mais elle ne s’est jamais immiscée dans mon travail de metteur en scène. Je suis simplement très reconnaissant envers eux pour m’avoir fait confiance. »
« Je ne le dis nullement de façon perverse, mais il s’avère que tous les acteurs doivent passer par un certain sentiment d’humiliation pour vraiment comprendre d’où ils viennent, pour s’imprégner du sous-texte - [c’est-à-dire de l’implicite] , pour s’apprécier eux-mêmes en tant qu’acteurs. Je ne cherche pas à donner une image romantique de tout cela en disant que l’on doit être giflé par son metteur en scène pour comprendre l’art dramatique. Mais il est indispensable de marcher dans la boue pour pouvoir respirer le parfum des roses. Je pense que je ne pourrais jamais couper le cordon ombilical avec Sonam ou Ranbir. J’ai rencontré Sonam quant elle avait 17 ans, elle a 21 ans aujourd’hui et paraît tout à coup être devenue adulte. »
« Je peux dire avec fierté qu’ils n’auraient jamais pu avoir un si beau film de lancement pour leurs carrières. De même, je n’aurais jamais pu avoir de meilleurs débutants pour mon film. »
« Sonam est intègre, j’adore cette qualité en elle. Elle dit ce qu’elle pense sans détours. Même quant elle sera une star, je sais qu’elle gardera le contact avec moi. »
« J’ai gâté ces enfants [Ranbir Kapoor et Sonam Kapoor] pour la vie. Ils m’ont gâtés en retour. Je ne sais pas comment nous allons travailler séparément, sans être ensemble dorénavant. Ma relation avec Sonam et Ranbir fut semblable à celle vécue par Amitabh et Rani Mukherjee dans Black. Je suis asséché maintenant. Tout ce que je pouvais donner, je l’ai donné à ces jeunes gens. »
« Ce qui les distingue, c’est la culture et leur éducation. Ranbir et Sonam sont issus de très belles lignées. Leur parents me les ont confiés sans faire aucune ingérence. J’ai dû inviter Neetu à venir visionner les clips de Ranbir. Sunita, la mère de Sonam, était sur le tournage parce qu’une fille a naturellement besoin d’être chaperonnée. Mais elle ne s’est jamais immiscée dans mon travail de metteur en scène. Je suis simplement très reconnaissant envers eux pour m’avoir fait confiance. »
« Je ne le dis nullement de façon perverse, mais il s’avère que tous les acteurs doivent passer par un certain sentiment d’humiliation pour vraiment comprendre d’où ils viennent, pour s’imprégner du sous-texte - [c’est-à-dire de l’implicite] , pour s’apprécier eux-mêmes en tant qu’acteurs. Je ne cherche pas à donner une image romantique de tout cela en disant que l’on doit être giflé par son metteur en scène pour comprendre l’art dramatique. Mais il est indispensable de marcher dans la boue pour pouvoir respirer le parfum des roses. Je pense que je ne pourrais jamais couper le cordon ombilical avec Sonam ou Ranbir. J’ai rencontré Sonam quant elle avait 17 ans, elle a 21 ans aujourd’hui et paraît tout à coup être devenue adulte. »
« Je peux dire avec fierté qu’ils n’auraient jamais pu avoir un si beau film de lancement pour leurs carrières. De même, je n’aurais jamais pu avoir de meilleurs débutants pour mon film. »
mardi 9 octobre 2007
Ranbir Kapoor portera-t-il la burqa dans Saawariya?
A un mois, jour pour jour, de la sortie de Saawariya, la tension doit aller crescendo chez le metteur en scène, Sanjay Leela Bhansali, mais surtout chez les deux interprètes débutants du film, Sonam Kapoor et Ranbir Kapoor, pour qui ce premier film a valeur de coup d‘essai. L’avenir de ces jeunes gens se joue littéralement sur Saawariya tant les attentes du public et de la critique semblent être immenses.
Pour oublier un peu cette pression, je propose cette question d’aspect fantaisiste mais qui peut, en définitive, indiquer l’évolution du cinéma indien dans sa représentation de la minorité musulmane de l’Inde.
On sait, en effet, selon les premières indiscrétions sur l’histoire du film, que Saawariya raconte l’histoire d’amour d’un Hindou et d’une Musulmane. Or, cette configuration n’est pas nouvelle. Si l’on se penche sur l’histoire récente du cinéma hindi, on peut citer quelques cas similaires: Bombay, Dil Se, Veer-Zaara, etc.
Bollywood a rarement été juste avec les personnages musulmans. Ils sont souvent simplifiés, quand ils ne deviennent pas des clichés ou des caricatures. Toutefois, les spectateurs musulmans sont, la plupart du temps, les premiers à rire des scènes où ils sont tournés en dérision, preuve qu’ils ne sont pas si violents qu’on veut bien le faire croire.
On se souvient que par le passé, de nombreux personnages masculins ont étés obligés de se couvrir de la burqa islamique pour pouvoir rencontrer secrètement leurs dulcinées. Dans Mera Faisla, par exemple, une séquence chantée hilarante montre un Sanjay Dutt en burqa démasqué par une bande de filles dans un vestiaire. Plus récemment, Khushi comporte une scène dans laquelle un personnage secondaire, ami de Fardeen Khan, s’habille en burqa pour aller chez sa petite amie qui est la fille d’un chef de la mafia.
Même Rishi Kapoor [le père de Ranbir Kapoor] s’est prêté à ce genre de facéties. Il a interprété des personnages de musulmans plus d’une fois. On se souvient surtout de sa prestation dans Amar Akbar Anthony où il était accompagné de Neetu Singh [son épouse à la ville]. Mais c’est dans Rafoo Chakkar, un remake de Certains l’Aiment Chaud, qu’il revêt la burqa pour séduire Neetu Singh.
Alors, Ranbir Kapoor portera-t-il ou non la burqa dans son premier film? La réponse dépendra de la volonté de Sanjay Leela Bhansali de rendre hommage à ces films que nous venons d’évoquer, et de faire un clin d’œ il à Rishi Kapoor. Peut-être, qu’au contraire, le metteur en scène inventera-t-il un nouveau gimmick, une nouvelle façon de faire de l’humour avec des personnages musulmans.
Pour oublier un peu cette pression, je propose cette question d’aspect fantaisiste mais qui peut, en définitive, indiquer l’évolution du cinéma indien dans sa représentation de la minorité musulmane de l’Inde.
On sait, en effet, selon les premières indiscrétions sur l’histoire du film, que Saawariya raconte l’histoire d’amour d’un Hindou et d’une Musulmane. Or, cette configuration n’est pas nouvelle. Si l’on se penche sur l’histoire récente du cinéma hindi, on peut citer quelques cas similaires: Bombay, Dil Se, Veer-Zaara, etc.
Bollywood a rarement été juste avec les personnages musulmans. Ils sont souvent simplifiés, quand ils ne deviennent pas des clichés ou des caricatures. Toutefois, les spectateurs musulmans sont, la plupart du temps, les premiers à rire des scènes où ils sont tournés en dérision, preuve qu’ils ne sont pas si violents qu’on veut bien le faire croire.
On se souvient que par le passé, de nombreux personnages masculins ont étés obligés de se couvrir de la burqa islamique pour pouvoir rencontrer secrètement leurs dulcinées. Dans Mera Faisla, par exemple, une séquence chantée hilarante montre un Sanjay Dutt en burqa démasqué par une bande de filles dans un vestiaire. Plus récemment, Khushi comporte une scène dans laquelle un personnage secondaire, ami de Fardeen Khan, s’habille en burqa pour aller chez sa petite amie qui est la fille d’un chef de la mafia.
Même Rishi Kapoor [le père de Ranbir Kapoor] s’est prêté à ce genre de facéties. Il a interprété des personnages de musulmans plus d’une fois. On se souvient surtout de sa prestation dans Amar Akbar Anthony où il était accompagné de Neetu Singh [son épouse à la ville]. Mais c’est dans Rafoo Chakkar, un remake de Certains l’Aiment Chaud, qu’il revêt la burqa pour séduire Neetu Singh.
Alors, Ranbir Kapoor portera-t-il ou non la burqa dans son premier film? La réponse dépendra de la volonté de Sanjay Leela Bhansali de rendre hommage à ces films que nous venons d’évoquer, et de faire un clin d’œ il à Rishi Kapoor. Peut-être, qu’au contraire, le metteur en scène inventera-t-il un nouveau gimmick, une nouvelle façon de faire de l’humour avec des personnages musulmans.
Will Ranbir Kapoor wear a burqa in Saawariya?
As the release date of Saawariya is approaching, we can easily imagine the tension its director, Sanjay Leela Bhansali, and its main actors, the newcomers Sonam Kapoor and Ranbir Kapoor, are going through.
To keep this stress away, we would like to ask this simple question that may seem a joke but which has a deep meaning with regards to the history of Muslim representation in Indian movies.
Very often, Bollywood has shown its uneasiness in depicting Muslim characters. Directors usually tend to oversimplify the reality of this community. But moviemakers of the 1970s had a more healthy approach to the question, since they preferred to address this issue through humour. And most of the time, Muslim spectators are the first ones to laugh at their own expense which is a sign of tolerance, and, most of all, of humour.
In this context, a scene that has been depicted time and again in Hindi movies is the one where the hero has to disguise himself by wearing a burqa in order to be able to meet his Laila. In Mera Faisla, Sanjay Dutt wears this Muslim feminine costume in a very funny song sequence taking place in a girls’ changing-room-cum-bathroom. Much recently, in Khushi, Fardeen Khan’s friend uses this disguise to enter the house of his college sweetheart, who happens to be the daughter of a mafia don.
Even Rishi Kapoor has played a number of Muslim characters entangled in those comic situations. In Rafoo Chakkar, one can see him clad in a burqa, romancing Neetu Singh.
So, will Ranbir wear a burqa in Saawariya? We will have to wait in order to see if Sanjay Leela Bhansali pays an homage to Hindi movies of the golden era, and also to Rishi Kapoor, or if he prefers to be innovative in the depiction of Muslims in movies.
To keep this stress away, we would like to ask this simple question that may seem a joke but which has a deep meaning with regards to the history of Muslim representation in Indian movies.
Very often, Bollywood has shown its uneasiness in depicting Muslim characters. Directors usually tend to oversimplify the reality of this community. But moviemakers of the 1970s had a more healthy approach to the question, since they preferred to address this issue through humour. And most of the time, Muslim spectators are the first ones to laugh at their own expense which is a sign of tolerance, and, most of all, of humour.
In this context, a scene that has been depicted time and again in Hindi movies is the one where the hero has to disguise himself by wearing a burqa in order to be able to meet his Laila. In Mera Faisla, Sanjay Dutt wears this Muslim feminine costume in a very funny song sequence taking place in a girls’ changing-room-cum-bathroom. Much recently, in Khushi, Fardeen Khan’s friend uses this disguise to enter the house of his college sweetheart, who happens to be the daughter of a mafia don.
Even Rishi Kapoor has played a number of Muslim characters entangled in those comic situations. In Rafoo Chakkar, one can see him clad in a burqa, romancing Neetu Singh.
So, will Ranbir wear a burqa in Saawariya? We will have to wait in order to see if Sanjay Leela Bhansali pays an homage to Hindi movies of the golden era, and also to Rishi Kapoor, or if he prefers to be innovative in the depiction of Muslims in movies.
lundi 8 octobre 2007
Anil Kapoor ému par Sonam Kapoor
Nous parlions l’autre jour de la première interview de Sonam Kapoor et nous avions alors laissé de côté la partie où Anil Kapoor s’exprimait. Nous y revenons aujourd’hui. On retrouve l’acteur dans un nouveau registre. En effet, alors qu’il s’est toujours exprimé sur sa carrière, il s’exprime cette fois-ci sur sa fille Sonam Kapoor en présence de celle-ci, et la teneur de ses propos laisse parfaitement entendre son émotion.
« Sonam ne me ressemble pas et elle ne ressemble pas non plus à Sunita [l’épouse d’Anil]! Elle est belle. Mais son sourire est comme le mien. Je trouve formidable qu’elle ne ressemble à personne et qu’elle ait son propre visage. Ma plus jeune fille Rhea est la seule de la famille à me ressembler », déclare Anil Kapoor.
« J’ai vu des extraits du film [Saawariya] et c’est spectaculaire. La présentation de Sanjay Leela Bhansali est d’une classe internationale, véritablement magique […]. Aucun soirée de première d’un de mes films ne m’a jamais procurée autant de joie. C’est un début de rêve pour un acteur. »
« Sonam me surprend par tout ce qu’elle fait …, agréablement d’ailleurs. Comme par exemple, elle n’aime pas se couper les cheveux, ce qui lui donne un charme d’un ancien temps. Elle a ses propres opinions. Travailler dans le cinéma est une décision qu’elle a prise elle-même. Je l’avais prévenue que cela allait être un périple difficile, et la voilà. »
« Sonam ne me ressemble pas et elle ne ressemble pas non plus à Sunita [l’épouse d’Anil]! Elle est belle. Mais son sourire est comme le mien. Je trouve formidable qu’elle ne ressemble à personne et qu’elle ait son propre visage. Ma plus jeune fille Rhea est la seule de la famille à me ressembler », déclare Anil Kapoor.
« J’ai vu des extraits du film [Saawariya] et c’est spectaculaire. La présentation de Sanjay Leela Bhansali est d’une classe internationale, véritablement magique […]. Aucun soirée de première d’un de mes films ne m’a jamais procurée autant de joie. C’est un début de rêve pour un acteur. »
« Sonam me surprend par tout ce qu’elle fait …, agréablement d’ailleurs. Comme par exemple, elle n’aime pas se couper les cheveux, ce qui lui donne un charme d’un ancien temps. Elle a ses propres opinions. Travailler dans le cinéma est une décision qu’elle a prise elle-même. Je l’avais prévenue que cela allait être un périple difficile, et la voilà. »
samedi 6 octobre 2007
Rani Mukherjee: une intime de Ranbir et de Sonam Kapoor
« C’est une sorte de bénédiction pour Ranbir et Sonam Kapoor d’être lancé dans le cinéma par Sanjay Leela Bhansali, non seulement parce que c’est un cinéaste de grand talent, mais surtout parce qu’il consacre beaucoup de son temps à former ses artistes et à les aider à perfectionner leur art dramatique. Il est vraiment spécial. Ranbir et Sonam sont chanceux de faire leurs débuts sous sa direction. »
« Travailler avec Ranbir et Sonam en tant qu’acteurs a été différent pour moi, parce que je les connaissais depuis bien avant. J’ai vu Sonam et Ranbir se former devant mes yeux lorsqu’ils étaient assistants de Sanjay Leela Bhansali sur le tournage de Black […]. Je ressens une immense fierté et je suis très heureuse. »
« Je pense qu’ils vont créer l’événement. Si je dois dire quelque chose à propos de Ranbir, c’est qu’il va avoir de nombreuses groupies. Il possède des aspects de la personnalité de Neetu Singh-Kapoor et de Rishi Kapoor [ses parents] et je pense que cela représente une qualité qui va le rendre très agréable à regarder. Lorsqu’il va apparaître à l’écran, les gens vont se demander s’il sera capable de perpétuer la magie des danses de Rishi et Neetu. Ranbir possède un style de danse à la fois plaisant, spécial et unique. Sonam est très belle et je pense qu’elle a héritée des qualités d’Anil et de Sunita Kapoor [ses parents à elle]. Elle est devenue une si jolie fille. Elle va avoir un nombre impressionnant d’admirateurs. Tous les deux vont devenir les plus grandes stars du cinéma indien. »
« Lorsque je jouais dans Black, Ranbir et Sonam étaient derrière la caméra, et, maintenant, ils sont des acteurs, maquillés et costumés. Mais ils sont restés les mêmes. Ils étaient nerveux au moment de faire face à la caméra, et ils étaient crispés même avec moi. Alors j’essayais de plaisanter avec eux, de les mettre à l’aise. Mais comme ils ont un guide si affirmé en la personne de Sanjay Leela Bhansali, ils n’ont besoin de rien d’autre. »
« Salman Khan et moi sommes dans le film parce que Sanjay Leela Bhansali le souhaitait. Nous aimons Sanjay. Mais je pense que Ranbir et Sonam vont nous faire de l’ombre, à Salman et à moi, dans Saawariya. »
« Travailler avec Ranbir et Sonam en tant qu’acteurs a été différent pour moi, parce que je les connaissais depuis bien avant. J’ai vu Sonam et Ranbir se former devant mes yeux lorsqu’ils étaient assistants de Sanjay Leela Bhansali sur le tournage de Black […]. Je ressens une immense fierté et je suis très heureuse. »
« Je pense qu’ils vont créer l’événement. Si je dois dire quelque chose à propos de Ranbir, c’est qu’il va avoir de nombreuses groupies. Il possède des aspects de la personnalité de Neetu Singh-Kapoor et de Rishi Kapoor [ses parents] et je pense que cela représente une qualité qui va le rendre très agréable à regarder. Lorsqu’il va apparaître à l’écran, les gens vont se demander s’il sera capable de perpétuer la magie des danses de Rishi et Neetu. Ranbir possède un style de danse à la fois plaisant, spécial et unique. Sonam est très belle et je pense qu’elle a héritée des qualités d’Anil et de Sunita Kapoor [ses parents à elle]. Elle est devenue une si jolie fille. Elle va avoir un nombre impressionnant d’admirateurs. Tous les deux vont devenir les plus grandes stars du cinéma indien. »
« Lorsque je jouais dans Black, Ranbir et Sonam étaient derrière la caméra, et, maintenant, ils sont des acteurs, maquillés et costumés. Mais ils sont restés les mêmes. Ils étaient nerveux au moment de faire face à la caméra, et ils étaient crispés même avec moi. Alors j’essayais de plaisanter avec eux, de les mettre à l’aise. Mais comme ils ont un guide si affirmé en la personne de Sanjay Leela Bhansali, ils n’ont besoin de rien d’autre. »
« Salman Khan et moi sommes dans le film parce que Sanjay Leela Bhansali le souhaitait. Nous aimons Sanjay. Mais je pense que Ranbir et Sonam vont nous faire de l’ombre, à Salman et à moi, dans Saawariya. »
jeudi 4 octobre 2007
Pas de retraite anticipée pour Anil Kapoor
Beaucoup de spécialistes de Bollywood se demandent sérieusement si l’avènement de Sonam Kapoor ne va pas signer la fin de la carrière de son père. Lorsqu’on demande à Sonam si son père, Anil Kapoor, devra dorénavant ne jouer que des rôles de pères, elle est catégorique. Elle pense que son père « sera toujours Lakhan (le personnage qu’il a interprété dans le film Ram Lakhan) et il sera toujours une tête d’affiche. »
Elle remarque qu’Anil a plus d’endurance qu’elle: « Il a plus d’énergie que moi. Je n’ai que la vingtaine. Mais il fait du sport deux heures de plus que moi chaque matin. »
Il ya quelques mois, Anil Kapoor était très confiant et annonçait avec son humour typique: « En ce qui me concerne, je vais continuer à m’éclater toute ma vie! Je suis sûr que je serais encore en train de travailler bien longtemps après que Sonam ait prit sa retraite! »
Par ailleurs, Anil a formulé le souhait de travailler avec Sonam: « J’adorerais jouer le rôle du père de ma fille, Sonam, dans un film. » Espérons qu’ils en aient le temps avant l’âge de la retraite.
Elle remarque qu’Anil a plus d’endurance qu’elle: « Il a plus d’énergie que moi. Je n’ai que la vingtaine. Mais il fait du sport deux heures de plus que moi chaque matin. »
Il ya quelques mois, Anil Kapoor était très confiant et annonçait avec son humour typique: « En ce qui me concerne, je vais continuer à m’éclater toute ma vie! Je suis sûr que je serais encore en train de travailler bien longtemps après que Sonam ait prit sa retraite! »
Par ailleurs, Anil a formulé le souhait de travailler avec Sonam: « J’adorerais jouer le rôle du père de ma fille, Sonam, dans un film. » Espérons qu’ils en aient le temps avant l’âge de la retraite.
mercredi 3 octobre 2007
Les secrets de Sonam Kapoor
Sonam Kapoor est finalement sortie de la réserve voulue par le réalisateur Sanjay Leela Bhansali, et elle a donnée sa première interview à la presse. Il s’agit d’un entretien conjoint avec son père, Anil Kapoor. Nous présentons aujourd’hui la partie consacrée à Sonam, et nous aurons peut-être l’occasion de revenir sur ce qu’Anil Kapoor a dit de sa fille une autre fois.
Sonam Kapoor, qui croit au Karma (philosophie selon laquelle on sera récompensé pour le bien que l’on fait et puni pour le mal dont on se rend coupable) et aux vies antérieures, se livre à cœur ouvert.
Sonam Kapoor, à propos de son premier jour de tournage: « J’étais très excitée et nerveuse en même temps lors de la première scène du tournage à Karjat. Tout semblait familier et je me sentais à l’aise face à la caméra. L’ironie a voulue que je sois complètement maquillée pour jouer une scène alors que je suis en arrière-plan, descendant d’un pont! »
Sur ses parents: « Papa me traite comme un fils et maman comme une fille, donc tout va bien[…]. Je pense que je ressemble à ma mère. Mais j’ai hérité du sourire et du nez de mon père et nos personnalités se ressemblent aussi. Je suis admirative d’Anil Kapoor, l’acteur. J’adorerais travailler avec lui un jour. »
Sur la soirée de présentation de la musique de Saawariya: « On a vraiment eu une grande soirée de lancement. Travailler avec Sir (Sanjay Leela Bhansali), en tant qu’assistante sur le film Black, m’a permis de comprendre que malgré toutes ses excentricités, il m’aime à mort. C’est comme à l’école, lorsque votre prof préféré vous fait des misères juste pour vous permettre de donner le meilleur de vous-même. »
A propos de Ranbir Kapoor: « Ranbir est un de mes meilleurs amis depuis que l’âge de sept ans. Nous avons des vidéos qui nous montrent en train de danser ensemble! Lorsque nous regardons Saawariya, nous regardons l’autre sur l’écran, pas nous-mêmes. Et nous finissons par nous dire: « Oh, mon Dieu! Tu es surprenant ». »
Sur la profession d‘actrice: « J’adore le métier de comédienne. Vous pouvez être mille personnages différents auxquels vous apportez votre propre personnalité, et j’aime cet aspect. J’ai l’impression d’être une petite fille de cinq ans qui garde son secret pour elle. »
Sonam Kapoor, qui croit au Karma (philosophie selon laquelle on sera récompensé pour le bien que l’on fait et puni pour le mal dont on se rend coupable) et aux vies antérieures, se livre à cœur ouvert.
Sonam Kapoor, à propos de son premier jour de tournage: « J’étais très excitée et nerveuse en même temps lors de la première scène du tournage à Karjat. Tout semblait familier et je me sentais à l’aise face à la caméra. L’ironie a voulue que je sois complètement maquillée pour jouer une scène alors que je suis en arrière-plan, descendant d’un pont! »
Sur ses parents: « Papa me traite comme un fils et maman comme une fille, donc tout va bien[…]. Je pense que je ressemble à ma mère. Mais j’ai hérité du sourire et du nez de mon père et nos personnalités se ressemblent aussi. Je suis admirative d’Anil Kapoor, l’acteur. J’adorerais travailler avec lui un jour. »
Sur la soirée de présentation de la musique de Saawariya: « On a vraiment eu une grande soirée de lancement. Travailler avec Sir (Sanjay Leela Bhansali), en tant qu’assistante sur le film Black, m’a permis de comprendre que malgré toutes ses excentricités, il m’aime à mort. C’est comme à l’école, lorsque votre prof préféré vous fait des misères juste pour vous permettre de donner le meilleur de vous-même. »
A propos de Ranbir Kapoor: « Ranbir est un de mes meilleurs amis depuis que l’âge de sept ans. Nous avons des vidéos qui nous montrent en train de danser ensemble! Lorsque nous regardons Saawariya, nous regardons l’autre sur l’écran, pas nous-mêmes. Et nous finissons par nous dire: « Oh, mon Dieu! Tu es surprenant ». »
Sur la profession d‘actrice: « J’adore le métier de comédienne. Vous pouvez être mille personnages différents auxquels vous apportez votre propre personnalité, et j’aime cet aspect. J’ai l’impression d’être une petite fille de cinq ans qui garde son secret pour elle. »
mardi 2 octobre 2007
L’équipe de Saawariya à la télévision
La promo de Saawariya continue avec l’apparition de l’équipe du film dans l’émission de télé-réalité ‘Amul Star Voice of India’. Samedi dernier, Sonam Kapoor et Ranbir Kapoor sont apparus pour la première à la télévision en tant qu’invités d’honneur d’une émission qui a pour but de sélectionner de nouveaux talents de la chanson. Les jeunes gens ont chantés et dansés avec les concurrents sur scène.
Les deux jeunes acteurs étaient accompagnés pour l’occasion de leur mentor, Sanjay Leela Bhansali. Celui-ci s’est particulièrement impliqué dans l’apparence de ses protégés, veillant à leur prodiguer moult conseils sur leur façon de s’exprimer et de danser. Il a veillé surtout à ce qu’ils soient élégants. Leurs vêtements traditionnels n’a fait qu’ajouter à la classe et à la distinction de Ranbir et de Sonam.
(Regardez la vidéo de l’émission).
Les deux jeunes acteurs étaient accompagnés pour l’occasion de leur mentor, Sanjay Leela Bhansali. Celui-ci s’est particulièrement impliqué dans l’apparence de ses protégés, veillant à leur prodiguer moult conseils sur leur façon de s’exprimer et de danser. Il a veillé surtout à ce qu’ils soient élégants. Leurs vêtements traditionnels n’a fait qu’ajouter à la classe et à la distinction de Ranbir et de Sonam.
(Regardez la vidéo de l’émission).
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