Peu de gens savent qu’avant de devenir une vedette du cinéma de langue Hindi, le Bollywood comme on l’appelle communément, Anil Kapoor a été la tête d’affiche d’un film en Kannada (dialecte parlé dans l’Etat du Karnataka). Ce film intitulé Pallavi Anu Pallavi, mis en scène par l’immense réalisateur Mani Ratnam (l’auteur des récents Yuva et Guru), fut un immense succès à l’époque.
Sonam Kapoor a récemment lancé un appel afin de tourner dans un film en langue Kannada dans le futur. Il est très rare que les comédiennes de Bollywood ait ce plan de carrière dès leurs débuts à l’écran; en général, cela vient plutôt lorsque les grands producteurs de Mumbai ne font plus appel à elles. Alors, Sonam a-t-elle un véritable coup de cœur pour un cinéma régional qui a autrefois donné sa chance à son père, Anil Kapoor, ou souhaite-t-elle, tout simplement, être une actrice indienne avec le registre linguistique le plus étendu? Une artiste qui ne se refuse rien, ça nous change de toutes les starlettes prétentieuses qui, avant même le tournage de leur film, crient haut et fort qu’elles veulent travailler pour Yash Chopra, Sanjay Leela Bhansali, Karan Johar, Ashutosh Gowariker, Rakeysh Omprakash Mehra ou Farhan Akhtar. Un peu de modestie, mesdemoiselles!
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