« Je suis comme un robinet. Je peux pleurer et rire sur commande. »
Sonam est une fille hyper-active qui ne déteste rien tant que ne rien faire. Et c’est pourtant ce qu’on lui a demandé de faire pour une grande partie du film de Sanjay Leela Bhansali. « J’ai dû rester immobile très longtemps, alors que j’ai plutôt l’habitude de vivre des émotions intenses en permanence. »
C’est un peu ce qu’elle a vécue durant la période précédant la sortie de Saawariya. « Je suis le genre de personne qui ressent tout en même temps. Je ressens les choses trop intensément. Toutes les émotions sont accentuées. Je suis une personne extrême, et je pense que c’est effrayant. »
Elle a toujours été passionnée par les arts créatifs et c’est ce qu’elle est allée étudier à l’United World College de Singapour, où elle s’est spécialisée dans la décoration d’intérieur.
« Je ne me suis jamais vraiment intéressée au métier d’actrice. […] Il m’est arrivé de réciter des monologues pour des pièces, mais c’était uniquement parce que j’avais écrit ces textes moi-même. Sinon, je n’ai jamais souhaitée devenir une actrice; une danseuse, peut-être, mais pas une actrice. »
C’est lors du tournage de Black que les choses ont changées. Elle était alors l’assistante de Bhansali. « Le premier jour du tournage, M. Bhansali m’a regardé et m’a dit ‘Toi, tu es une actrice’. C’est là que le déclic s’est produit dans mon esprit. Et puis, j’ai réalisée ‘J’aime bien ce que Amitabh Bachchan et Rani Mukherjee font, face à la caméra, ça m’intéresse un peu plus, pourquoi pas?’. »
Sonam apprend la danse Kathak depuis l’âge de six ans. « Comme dans la danse, l’art dramatique vous apprend à utiliser votre corps comme un outil. Je pense que c’est beau: créer des gens, créer des personnages, en utilisant votre personnalité même. »
« Je suis obsédée par l’œuvre de Sanjay Leela Bhansali. J’y trouve plusieurs niveaux d’interprétation. Je veux dire que Devdas n’est pas seulement un film commercial. Il y a des émotions intensifiées et des personnages abîmés dans un décor magnifique. Il sur-dramatise tout: c’est pour toucher le public des premiers rangs. Mais les spectateurs plus élitistes peuvent aussi apprécier les différentes nuances de son film. J’aime beaucoup les différentes couches qu’il donne à son travail. Tout est joliment pensé, joliment synchronisé. »
Il est notoire que Bhansali est un perfectionniste. « Oui, mais il est en même temps quelqu’un de très spontané qui aime improviser. Et cette contradiction est étonnante. Quelqu’un qui pense tellement à quelque chose et qui, tout à coup, peut être impulsif; je pense que c’est cela qui fait de lui un tel génie. Je pense que j’ai appris ça de lui, penser que vous devez faire le trajet entre les points A et B, mais en sachant que ce parcours peut être spontané. J’aime ça. »
« [Bhansali] est le meilleur réalisateur avec lequel on peut travailler […]. Il vous donne l’espace et le temps dont vous avez besoin. Et si vous avez conscience qu’il vous offre cela, vous essayez de faire de votre mieux, le plus vite possible pour l’intérêt du producteur. Je suis la fille d’un producteur aussi. »
Sonam Kapoor aime tous les films de son père, Anil Kapoor. Elle sait apprécier aussi bien Lawrence d’Arabie que des films typiquement bollywoodiens comme Chak De India, jusqu’au premier film produit par son père, Gandhi My Father. Elle a aussi beaucoup aimée Jhoom Barabar Jhoom, même si pratiquement personne ne partage son avis (le film a été un désastre au box-office). Mais elle avoue s’être éclatée à la projection du film. Elle l’a regardée parce qu’en réalité elle aime beaucoup l’acteur de Jhoom Barabar Jhoom, Abhishek Bachchan.
A propos de son rôle dans Saawariya, elle explique: « Le personnage est l’exact contraire de ce que je suis réellement.[…] Elle EST l’amour. Si quelqu’un veut apprendre comment aimer, alors il faut l’apprendre de Sakina. Je pense que personne n’a la force, surtout à notre époque, d’aimer comme elle le fait. C’est épatant. »
Elle connaît Ranbir Kapoor depuis toujours, et elle s’amuse à énumérer les coïncidences qu’il y a dans leurs trajectoires. « C’était tellement fou. Ranbir et moi, nous sommes allés à l’étranger au même moment: il est parti aux Etats-Unis, et je suis allé à Singapour. Tout ce qui nous est arrivé, s’est produit exactement en même temps. Il est un de mes meilleurs amis, et j’étais si heureuse qu’il fût mon premier partenaire, parce que je peux me comporter comme une idiote devant lui, cela ne lui importe guère. »
« Ranbir ne peut pas me juger. Parce qu’il se permet toutes les insolences, y compris celle de roter, en ma présence. Nous sommes des amis, mec. Et, en tant qu’acteur, on ne peut pas être sur ses gardes en permanence. Vous devez être toujours complètement ouvert et vulnérable. Et je peux être ainsi avec Ranbir parce que je le connais si bien, depuis toujours. »
« C’est avec Salman Khan que j’ai eue le plus de plaisir à travailler, parce qu’il est tellement insouciant [….]. J’étais impressionnée par lui parce que j’ai toujours été son admiratrice. Shah Rukh Khan et lui sont comme des dieux pour moi. Je suis déjà allée en vacances une fois ou deux avec Salman parce qu’il est vraiment proche de mon père. En tant qu’actrice, je pensais que j’allais mourir, mais il était si sympa avec moi. Et le plus agréable avec Salman, c’est qu’il traite tout le monde de la même façon. C’est un mec tellement cool, il est comme une star de rock. »
A propos des performances dans Saawariya, elle dit: « Je n’ai aucune perspective sur moi-même. Je peux vous dire que Ranbir est magnifique dans le film, et que Sanjay Bhansali est un génie.[…] Tout est formidable dans ce film, mais je ne peux pas me juger! Jamais! »
Son père, Anil Kapoor, lui a conseillé de ne pas lire les critiques à la sortie du film. « Il ne veut pas que je me laisse emporter par les bonnes ou les mauvaises réactions. Il ne croit pas en la compétition, il pense qu’elle ne doit exister qu’avec vous-même. Améliorez-vous. »
« J’ai travaillé sans arrêt ces quatre dernières années. Je n’ai pas eue de vacances depuis que j’ai dix-sept ans.[…] Les projets de films se présentent à moi, mais je pense que j’ai besoin de vacances. Je pense que je suis trop jeune pour parler comme cela, non? Je vais laisser mon père décider, car il a l’expérience et il souhaite le meilleur pour moi. Moi, je veux surtout me la couler douce. »
« Je suis comme un cheval avec ses œillères, pour le dire avec délicatesse.[…] Je me suis tellement concentrée sur Saawariya que je ne sais plus où le film s’achève et où ma personnalité commence. J’ai besoin d’un peu d’espace, ne croyez-vous pas? »
samedi 24 novembre 2007
mercredi 21 novembre 2007
Un amoureux de Saawariya
Même si le public indien boude le dernier film de Bhansali, il s’avère qu’un réalisateur, et non des moindres, puisqu’il s’agit de Rakeysh Omprakash Mehra, celui-là même qui a mis en scène Aks et récemment Rang De Basanti, est littéralement tombé amoureux de Saawariya.
Et il n’arrête pas d’en chanter les vertus depuis qu’il a succombé au charme de cette œuvre.
Selon lui, « Saawariya est un film qui sera considéré comme un tournant dans l’histoire du cinéma indien. J’ai été simplement époustouflé par ce film. Ma première réaction a été de la jalousie. Ensuite, j’ai ressenti de l’admiration et du respect pour son auteur. »
« Je pense que la comédie musicale est devenue mature grâce à Saawariya. Certains d’entre nous qui essayons de faire évoluer le cinéma sommes naturellement blessés [dans notre orgueil]. »
Rakeysh Omprakash Mehra trouve quand même un motif pour modérer son enthousiasme, mais il ne s’agit que d’un détail négligeable. « Je pense que le film est trop long d’une demie-heure. Sinon, j’en suis complètement fou amoureux. »
Si l’un des réalisateurs les plus réalistes, les moins lyriques, pour lequel le cinéma peut aussi être un vecteur de prise de conscience sociale (Rang De Basanti, ça n’est tout de même pas de la tarte à la Kabhi Alvida Na Kehna), peut s’émouvoir à la vision de Saawariya, il y a de quoi mettre du baume au cœur de Sanjay Leela Bhansali.
Et il n’arrête pas d’en chanter les vertus depuis qu’il a succombé au charme de cette œuvre.
Selon lui, « Saawariya est un film qui sera considéré comme un tournant dans l’histoire du cinéma indien. J’ai été simplement époustouflé par ce film. Ma première réaction a été de la jalousie. Ensuite, j’ai ressenti de l’admiration et du respect pour son auteur. »
« Je pense que la comédie musicale est devenue mature grâce à Saawariya. Certains d’entre nous qui essayons de faire évoluer le cinéma sommes naturellement blessés [dans notre orgueil]. »
Rakeysh Omprakash Mehra trouve quand même un motif pour modérer son enthousiasme, mais il ne s’agit que d’un détail négligeable. « Je pense que le film est trop long d’une demie-heure. Sinon, j’en suis complètement fou amoureux. »
Si l’un des réalisateurs les plus réalistes, les moins lyriques, pour lequel le cinéma peut aussi être un vecteur de prise de conscience sociale (Rang De Basanti, ça n’est tout de même pas de la tarte à la Kabhi Alvida Na Kehna), peut s’émouvoir à la vision de Saawariya, il y a de quoi mettre du baume au cœur de Sanjay Leela Bhansali.
Les irréductibles de Saawariya
Malgré le concert de critiques défavorables à Saawariya, certains spectateurs ne tarissent pas d’éloges pour Sanjay Leela Bhansali et sa nouvelle fiction. Nous avons sélectionné le point de vue d’un connaisseur en la personne du réalisateur de Tere Naam, Satish Kaushik:
« J’ai beaucoup aimé Saawariya. Le mauvais traitement qu’il subit en ce moment était prévisible. Cela fait partie du destin de tout artiste qui essaie de faire quelque chose de différent. Sanjay Bhansali a élaboré un chef-d’œuvre. Il a créé quelque chose qui n’a jamais été tenté jusqu’à présent. »
« Son film est un conte de fées. Le décor, le montage et la musique créent un monde parfait que l’on finit par croire réel. En tant qu’étudiant d’art dramatique, j’ai adoré la qualité de la théâtralité irréelle dans Saawariya. »
Je pense que ce qu’a fait Sanjay est incroyable. Il a donné une nouvelle forme artistique au cinéma, en même temps qu’il nous a donné deux jeunes gens adorables, enthousiasmant et qui sont des acteurs brillants. Je reconnais que la trame du film comporte certaines failles. Et alors? »
« Sanjay aurait-il dû laisser Ranbir Raj gagner le cœur de sa Sakina à la fin du film, uniquement pour faire plaisir aux spectateurs? Je ne suis persuadé que d’une chose: à l’avenir, les cinéastes vont dire: ‘Essayons de recréer le type d’atmosphère qu’il y a dans Saawariya pour l’intégrer à notre film’. »
« J’ai beaucoup aimé Saawariya. Le mauvais traitement qu’il subit en ce moment était prévisible. Cela fait partie du destin de tout artiste qui essaie de faire quelque chose de différent. Sanjay Bhansali a élaboré un chef-d’œuvre. Il a créé quelque chose qui n’a jamais été tenté jusqu’à présent. »
« Son film est un conte de fées. Le décor, le montage et la musique créent un monde parfait que l’on finit par croire réel. En tant qu’étudiant d’art dramatique, j’ai adoré la qualité de la théâtralité irréelle dans Saawariya. »
Je pense que ce qu’a fait Sanjay est incroyable. Il a donné une nouvelle forme artistique au cinéma, en même temps qu’il nous a donné deux jeunes gens adorables, enthousiasmant et qui sont des acteurs brillants. Je reconnais que la trame du film comporte certaines failles. Et alors? »
« Sanjay aurait-il dû laisser Ranbir Raj gagner le cœur de sa Sakina à la fin du film, uniquement pour faire plaisir aux spectateurs? Je ne suis persuadé que d’une chose: à l’avenir, les cinéastes vont dire: ‘Essayons de recréer le type d’atmosphère qu’il y a dans Saawariya pour l’intégrer à notre film’. »
mardi 20 novembre 2007
La Mona Lisa de Bollywood
Alors que beaucoup de commentateurs ont enterré le film Saawariya, il existe quand même quelques personnes qui ont étés charmées par cette œuvre de Sanjay Leela Bhansali et qui ne se cachent pas pour le clamer à la face du monde.
Il en va ainsi de la chanteuse de pop, Alisha Chinai, célèbre pour avoir interprétée le tube ‘Made In India’, qui déclare: « Saawariya est une fantaisie romantique incandescente dont on a tous rêvé. L’amour décliné dans toutes ses teintes et ses folies … Ranbir Kapoor est adorable. Une vedette est née. Sonam Kapoor est la Mona Lisa de l’Inde, mystérieuse et charmante. »
Certains esthètes qui ont vus Saawariya disent que certains plans du film sont aussi beaux que des tableaux. Alors, quand verrons-nous une expo Bhansali au Louvre?
Il en va ainsi de la chanteuse de pop, Alisha Chinai, célèbre pour avoir interprétée le tube ‘Made In India’, qui déclare: « Saawariya est une fantaisie romantique incandescente dont on a tous rêvé. L’amour décliné dans toutes ses teintes et ses folies … Ranbir Kapoor est adorable. Une vedette est née. Sonam Kapoor est la Mona Lisa de l’Inde, mystérieuse et charmante. »
Certains esthètes qui ont vus Saawariya disent que certains plans du film sont aussi beaux que des tableaux. Alors, quand verrons-nous une expo Bhansali au Louvre?
lundi 19 novembre 2007
La croisade contre Saawariya
Si vous souhaitez être à la page et que vous avez l’envie de montrer que vous maîtrisez parfaitement les dernières tendances de Bollywood, rien de tel que de brocarder le dernier film de Sanjay Leela Bhansali, Saawariya. En effet, il est de bon ton, voir même recommandé, de fustiger ce film sorti récemment. Partout, de l’Inde aux Etats-Unis, en passant par le Royaume-Uni ou ailleurs dans le monde, là où l’on regarde les films indiens et où l’on suit l’actualité de Bollywood, sur la Toile, sur les chaînes satellite, dans les colonnes des journaux, dans les conversations de marché, au resto ou en famille et entre amis, le must du must est d’écraser Saawariya. Non seulement on ne pardonne pas à Bhansali d’avoir sorti son film le jour même où sortait le dernier Shah Rukh Khan, crime de lèse majesté, mais on en veut surtout au réalisateur de Black pour son insolence car il n’a cessé - croit-on - d’afficher sa confiance absolue dans son film en traitant Om Shanti Om (dans lequel joue Shah Rukh) comme un adversaire négligeable.
Il fallait donc en faire un exemple et châtier le criminel sur la place public. Saawariya a réussi à remplir les salles de cinéma le jour de sa sortie, battant même certains records si l’on en croit sieur Bhansali lui-même. Mais les chiffres du box-office n’ont cessé de dégringoler depuis. Comment expliquer cette désaffection des salles où l’on projette Saawariya? Il y a tout d’abord eu de très mauvaises critiques de la part de « journalistes » qui ont organisés un véritable tir de barrage contre Bhansali avant même sa sortie. Il y a ensuite eu le tapage médiatique autour du démarrage simultané de deux gros films pour la fête de Diwali: d’un côté le Saawariya de Sanjay Leela Bhansali, et, de l’autre, Om Shanti Om avec le roi Shah Rukh Khan à l’affiche. Tout le monde envisageait ce clash comme un combat: il fallait absolument qu’il y ait un gagnant et un perdant. Le perdant était désigné à l’avance: il fallait que ce soit Saawariya. Enfin, c’est le bouche à oreille qui a fini par achever Saawariya. Les réactions des spectateurs à la sortie de la première projection ont, malheureusement, étés négatives; leurs diffusions répétées sur les chaînes de télé ont eues un effet boule de neige dissuasif sur ceux qui hésitaient encore entre les deux films. Résultat des courses: Saawariya est considéré comme l’un des plus lourds échecs de l’année et comme la plus grande catastrophe de la carrière de Sanjay Leela Bhansali. (Il faut, en réalité, relativiser les choses: les chiffres du box-office ne pourront être mises en perspectives que lorsque l’année 2007 sera effectivement arrivée à son terme. On pourra alors avoir une meilleure idée des performances de Saawariya sur le moyen terme. Par ailleurs, les résultats obtenus par le film à l’étranger peuvent également amoindrir l’impact d’un éventuel échec. Enfin, sur un plan strictement commercial, les revenus annexes du film [droits de distribution, droits télé, éditions de CD et de DVD, produits dérivés, etc] peuvent encore faire de Saawariya une source de profits pour ses financeurs).
Alors, d’un point de vue artistique, Saawariya est-il un film raté?
Nous nous gardons bien d’y répondre. Nous n’avons pas encore pu visionner le film. Notre verdict est, pour le moment, réservé. Nous attendons de voir. Mais, quitte à ne pas être tendance, nous ne nous joindrons pas à cette croisade contre Saawariya, qui nous semble assez infecte!
Il fallait donc en faire un exemple et châtier le criminel sur la place public. Saawariya a réussi à remplir les salles de cinéma le jour de sa sortie, battant même certains records si l’on en croit sieur Bhansali lui-même. Mais les chiffres du box-office n’ont cessé de dégringoler depuis. Comment expliquer cette désaffection des salles où l’on projette Saawariya? Il y a tout d’abord eu de très mauvaises critiques de la part de « journalistes » qui ont organisés un véritable tir de barrage contre Bhansali avant même sa sortie. Il y a ensuite eu le tapage médiatique autour du démarrage simultané de deux gros films pour la fête de Diwali: d’un côté le Saawariya de Sanjay Leela Bhansali, et, de l’autre, Om Shanti Om avec le roi Shah Rukh Khan à l’affiche. Tout le monde envisageait ce clash comme un combat: il fallait absolument qu’il y ait un gagnant et un perdant. Le perdant était désigné à l’avance: il fallait que ce soit Saawariya. Enfin, c’est le bouche à oreille qui a fini par achever Saawariya. Les réactions des spectateurs à la sortie de la première projection ont, malheureusement, étés négatives; leurs diffusions répétées sur les chaînes de télé ont eues un effet boule de neige dissuasif sur ceux qui hésitaient encore entre les deux films. Résultat des courses: Saawariya est considéré comme l’un des plus lourds échecs de l’année et comme la plus grande catastrophe de la carrière de Sanjay Leela Bhansali. (Il faut, en réalité, relativiser les choses: les chiffres du box-office ne pourront être mises en perspectives que lorsque l’année 2007 sera effectivement arrivée à son terme. On pourra alors avoir une meilleure idée des performances de Saawariya sur le moyen terme. Par ailleurs, les résultats obtenus par le film à l’étranger peuvent également amoindrir l’impact d’un éventuel échec. Enfin, sur un plan strictement commercial, les revenus annexes du film [droits de distribution, droits télé, éditions de CD et de DVD, produits dérivés, etc] peuvent encore faire de Saawariya une source de profits pour ses financeurs).
Alors, d’un point de vue artistique, Saawariya est-il un film raté?
Nous nous gardons bien d’y répondre. Nous n’avons pas encore pu visionner le film. Notre verdict est, pour le moment, réservé. Nous attendons de voir. Mais, quitte à ne pas être tendance, nous ne nous joindrons pas à cette croisade contre Saawariya, qui nous semble assez infecte!
vendredi 16 novembre 2007
Sonam et Ranbir célèbrent les enfants
mercredi 14 novembre 2007
Sonam et Ranbir: la nouvelle version du couple Rishi-Neetu
Lorsqu’on demande à Neetu Singh qui elle voit, parmi la jeune génération d’acteurs, comme nouveau couple qui possède la même alchimie que celui qu’elle a formée elle-même avec Rishi Kapoor il y a quelques années, elle est prompte à répondre:
« Ranbir et Sonam. Je pense que Sonam est une fille formidable. Quelle fille aimable! C’est une fille très chaleureuse. Je connais sa mère, Sunita Kapoor [l‘épouse d‘Anil Kapoor] depuis de nombreuses années. Nous appartenons au même groupe d’amies. Ma belle-mère et la grand-mère de Sonam sont en contact permanent. »
A quand un Kabhi Kabhie, version XXIè siècle?
« Ranbir et Sonam. Je pense que Sonam est une fille formidable. Quelle fille aimable! C’est une fille très chaleureuse. Je connais sa mère, Sunita Kapoor [l‘épouse d‘Anil Kapoor] depuis de nombreuses années. Nous appartenons au même groupe d’amies. Ma belle-mère et la grand-mère de Sonam sont en contact permanent. »
A quand un Kabhi Kabhie, version XXIè siècle?
La fureur de Bhansali
Sanjay Leela Bhansali répond à ses détracteurs qui ont descendus son dernier film, Saawariya, dans la presse. Le réalisateur règle aussi ses comptes avec Shah Rukh Khan et rend hommage au courage de ses acteurs.
« [Certains critiques] appartiennent au cinéma des années 80; ils ne sont pas à la page, et je n’ai jamais espéré d’eux qu’ils comprennent Saawariya. On devrait priver ce genre de critiques de films de qualité. Selon moi, chacune des personnes qui a travaillé dans ce film a relevé le niveau de l’expérience cinématographique dans ce pays. »
« Shah Rukh Khan est le roi de Bollywood. Il peut dire ce qu’il veut. Mais pourquoi dit-il partout: ‘Je vais les détruire’? Où se trouve la dignité de la superstar en titre? Pourquoi se comparer à un film dans lequel jouent deux débutants? Qui êtes-vous pour les détruire? Est-ce vous qui les avez crées? Est-ce que nous mangeons dans votre main? Avons-nous fait ce film avec votre argent? Qu’est-ce qui vous donne le droit de dire que vous allez détruire cent cinquante personnes qui se sont tellement investis dans ce film? Laissez les gens juger par eux-mêmes. C’est un film avec de belles valeurs, avec des principes; les gens devraient apprécier cela. »
« On a eu un bon démarrage. Aucun autre cinéaste n’aurait pu obtenir de tels résultats en étant face à un film de Shah Rukh Khan, ce n’est pas rien. Nous avons le meilleur démarrage pour un film indien ayant des nouveaux acteurs dans les rôles principaux. »
« Nous nous attendions à ce que les spectateurs acceptent d’emblée Ranbir, car il a un rôle taillé sur mesure. Le personnage que joue Sonam est plus en demi-teinte: Sakina est une manipulatrice, elle est hystérique, anxieuse, solitaire … ce n’est pas un personnage dont on tombe amoureux, contrairement au personnage qu’interprète Ranbir. Cela étant dit, toutes mes félicitations à elle pour avoir fait un superbe travail. »
Voilà qui fera plaisir aux inconditionnels de Shah Rukh Khan!
« [Certains critiques] appartiennent au cinéma des années 80; ils ne sont pas à la page, et je n’ai jamais espéré d’eux qu’ils comprennent Saawariya. On devrait priver ce genre de critiques de films de qualité. Selon moi, chacune des personnes qui a travaillé dans ce film a relevé le niveau de l’expérience cinématographique dans ce pays. »
« Shah Rukh Khan est le roi de Bollywood. Il peut dire ce qu’il veut. Mais pourquoi dit-il partout: ‘Je vais les détruire’? Où se trouve la dignité de la superstar en titre? Pourquoi se comparer à un film dans lequel jouent deux débutants? Qui êtes-vous pour les détruire? Est-ce vous qui les avez crées? Est-ce que nous mangeons dans votre main? Avons-nous fait ce film avec votre argent? Qu’est-ce qui vous donne le droit de dire que vous allez détruire cent cinquante personnes qui se sont tellement investis dans ce film? Laissez les gens juger par eux-mêmes. C’est un film avec de belles valeurs, avec des principes; les gens devraient apprécier cela. »
« On a eu un bon démarrage. Aucun autre cinéaste n’aurait pu obtenir de tels résultats en étant face à un film de Shah Rukh Khan, ce n’est pas rien. Nous avons le meilleur démarrage pour un film indien ayant des nouveaux acteurs dans les rôles principaux. »
« Nous nous attendions à ce que les spectateurs acceptent d’emblée Ranbir, car il a un rôle taillé sur mesure. Le personnage que joue Sonam est plus en demi-teinte: Sakina est une manipulatrice, elle est hystérique, anxieuse, solitaire … ce n’est pas un personnage dont on tombe amoureux, contrairement au personnage qu’interprète Ranbir. Cela étant dit, toutes mes félicitations à elle pour avoir fait un superbe travail. »
Voilà qui fera plaisir aux inconditionnels de Shah Rukh Khan!
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Le Diwali de Priyanka Chopra
Cette année, Priyanka Chopra semble avoir apprécié la fête de Diwali plus que de coutume.
« Pour moi, Diwali a commencé lorsque je suis allée à l’avant-première de Saawariya. C’est un film très esthétiquement composé. Ranbir et Sonam sont les superstars de demain », a-t-elle ainsi révélée à la presse.
En fait, son humeur festive a continué dans le prolongement de Saawariya puisqu’elle a passée une grande partie de la fête de la Lumière chez l’actrice principale du film: Sonam Kapoor.
Priyanka raconte: « Je connais le père de Sonam [Anil Kapoor] depuis que nous avons joués ensemble dans Salaam-e-Ishq. J’aime vraiment Anilji. Je connais Sonam depuis plus longtemps encore. Elle fait partie de la même bande que Harman Baweja [un nouvel acteur qui fera ses débuts fin 2007-début 2008] et mes autres amis. Alors, lorsqu’elle m’a invité chez elle, j’y suis allée avec plaisir et j’y ai passée une soirée d’enfer. »
On aurait aimé connaître les détails de la soirée, comment on fête Diwali chez les Kapoor, et on aurait surtout aimé en savoir plus sur le cercle d’amis de Sonam Kapoor …
« Pour moi, Diwali a commencé lorsque je suis allée à l’avant-première de Saawariya. C’est un film très esthétiquement composé. Ranbir et Sonam sont les superstars de demain », a-t-elle ainsi révélée à la presse.
En fait, son humeur festive a continué dans le prolongement de Saawariya puisqu’elle a passée une grande partie de la fête de la Lumière chez l’actrice principale du film: Sonam Kapoor.
Priyanka raconte: « Je connais le père de Sonam [Anil Kapoor] depuis que nous avons joués ensemble dans Salaam-e-Ishq. J’aime vraiment Anilji. Je connais Sonam depuis plus longtemps encore. Elle fait partie de la même bande que Harman Baweja [un nouvel acteur qui fera ses débuts fin 2007-début 2008] et mes autres amis. Alors, lorsqu’elle m’a invité chez elle, j’y suis allée avec plaisir et j’y ai passée une soirée d’enfer. »
On aurait aimé connaître les détails de la soirée, comment on fête Diwali chez les Kapoor, et on aurait surtout aimé en savoir plus sur le cercle d’amis de Sonam Kapoor …
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mardi 13 novembre 2007
Bollywood déroule le tapis rouge pour Sonam
Alors que les critiques ont réservés un accueil glacial au film de Bhansali, les jeunes acteurs de Saawariya semblent avoir pu tirer leur épingle du jeu. En effet, leur travail a été apprécié et on dit que d’autres cinéastes font la queue pour pouvoir les engager dans leurs prochains longs métrages.
En attendant, les médias ont pu recueillir les premières impressions des vedettes invitées à l’avant-première du film.
Rani Mukherjee déclare, par exemple: « J’adore Sonam. Je suis très proche de sa mère. Mais il y a des choses qu’elle ne peut pas raconter à ses parents. Alors, elle me confie ses secrets de cœur. Je suis toujours là pour la guider. C’est une très très bonne enfant. »
Quant à Priyanka Chopra, elle confie: « Je connais Sonam depuis très longtemps. C’est une amie. Et j’aime bien son père, depuis le temps où nous avons joués ensemble dans Salaam-e-Ishq. Sonam est une fille tellement belle, et elle a un corps superbe. »
Il faut dire que les jeunes gens s’étaient démenés lors de la première pour accueillir la foule des invités. On raconte que Sonam et Ranbir étaient postés à l’entrée du cinéma où avait lieu la projection et qu’ils saluaient personnellement chaque arrivant, allant jusqu’à toucher les pieds d’Asha Parekh et ceux de Dilip Kumar et son épouse Saira Banu pour obtenir leurs bénédictions.
En attendant, les médias ont pu recueillir les premières impressions des vedettes invitées à l’avant-première du film.
Rani Mukherjee déclare, par exemple: « J’adore Sonam. Je suis très proche de sa mère. Mais il y a des choses qu’elle ne peut pas raconter à ses parents. Alors, elle me confie ses secrets de cœur. Je suis toujours là pour la guider. C’est une très très bonne enfant. »
Quant à Priyanka Chopra, elle confie: « Je connais Sonam depuis très longtemps. C’est une amie. Et j’aime bien son père, depuis le temps où nous avons joués ensemble dans Salaam-e-Ishq. Sonam est une fille tellement belle, et elle a un corps superbe. »
Il faut dire que les jeunes gens s’étaient démenés lors de la première pour accueillir la foule des invités. On raconte que Sonam et Ranbir étaient postés à l’entrée du cinéma où avait lieu la projection et qu’ils saluaient personnellement chaque arrivant, allant jusqu’à toucher les pieds d’Asha Parekh et ceux de Dilip Kumar et son épouse Saira Banu pour obtenir leurs bénédictions.
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Sonam Kapoor
jeudi 8 novembre 2007
Saawariya, c’est pour demain
Enfin, le jour tant attendu est presque là. C’est en effet demain, vendredi 9 novembre, que le nouveau film de Sanjay Leela Bhansali, avec Sonam Kapoor et Ranbir Kapoor dans les rôles principaux, sort en Inde et dans le monde. En attendant, une première projection était organisée hier soir pour les personnalités du cinéma indien.
Outre les acteurs jouant dans Saawariya et leurs parents, les grands noms de Bollywood avaient étés conviés à visionner ce film en avant-première. De Dilip Kunar à Yash Chopra, en passant par Karan Johar, Hrithik Roshan, Ashutosh Gowariker, Vinod Khanna, Sushmita Sen , Sunny Deol, Amisha Patel, Kunal Kohli ou encore Adnan Sami, sans oublier beaucoup d’autres célébrités et autres plus anonymes n’ont pas manqués de revêtir leurs plus beaux atours pour accompagner la naissance du nouveau chef-d’œuvre de Sanjay Leela Bhansali.
Outre les acteurs jouant dans Saawariya et leurs parents, les grands noms de Bollywood avaient étés conviés à visionner ce film en avant-première. De Dilip Kunar à Yash Chopra, en passant par Karan Johar, Hrithik Roshan, Ashutosh Gowariker, Vinod Khanna, Sushmita Sen , Sunny Deol, Amisha Patel, Kunal Kohli ou encore Adnan Sami, sans oublier beaucoup d’autres célébrités et autres plus anonymes n’ont pas manqués de revêtir leurs plus beaux atours pour accompagner la naissance du nouveau chef-d’œuvre de Sanjay Leela Bhansali.
Sanjay Leela Bhansali, Sonam Kapoor et Ranbir Kapoor
Rishi Kapoor et Neetu Singh-Kapoor
Anil Kapoor
Si vous avez la chance d’avoir un cinéma près de chez vous qui projette Saawariya, n’hésitez pas à aller l’apprécier.
JOYEUX DIWALI A TOUS
JOYEUX DIWALI A TOUS
Ranbir et Sonam fêtent Diwali
mercredi 7 novembre 2007
Anil a protégé sa fille de l’influence de Bollywood
Traduction d’un entretien réalisé par Devansh Patel.
Le compte à rebours pour le film et les débutants les plus attendus de cette année a déjà commencé. Que ressentez-vous en ce moment?
Je ressens un flot d’émotions. Je suis excitée, nerveuse, heureuse … trop de choses, mon pote! Ne me demandez-pas. C’est le chaos dans mon système en ce moment.
Racontez-nous quelque chose à propos de votre léger périple entre Black et Saawariya.
C’était, en réalité, un voyage où j’ai perdue beaucoup de poids [Rire]. Entre Black et Saawariya, j’ai effectuée un bond de géant. Ç a a été une expérience intense de bout en bout. Nous travaillons constamment sur nous-mêmes pour nous améliorer. J’avais des génies comme Sanjay Leela Bhansali, Omung Kumar, Ravi Chandran, Anuradha Vakil, et d’autres pour me façonner, sans compter un partenaire brillant, en la personne de Ranbir Kapoor, qui jouait et improvisait avec moi. Cela a donc été l’expérience de formation la plus excitante de toute ma vie.
Votre père, Anil Kapoor, est un autodidacte qui a réussi à se maintenir même aujourd’hui dans le cinéma indien. Où pensez-vous que Saawariya vous mènera?
Vous avez raison. J’ai décroché mon rôle dans Saawariya parce que je suis la fille d’Anil Kapoor; c’est comme cela que j’ai été présentée à Sanjay Leela Bhansali, sinon vous n’auriez jamais entendu parler de moi. M. Bhansali a pris soin de tout, depuis la mèche de mes cheveux jusqu’aux ongles de mes orteils. Ce que je suis dans Saawariya, je le dois à Sanjay Leela Bhansali. Donc, ce qui se passera après Saawariya, sera, je l’espère, dû à ma propre contribution. Pour l’instant, je suis ici grâce à mon père et à mon metteur en scène.
Cela veut-il dire que vous n’aviez jamais eue l’intention d’intégrer le monde du cinéma, et que juste parce que Sanjay Leela Bhansali vous a dit que vous étiez belle vous avez accepté avec joie?
Oui, et c’est la vérité. Je ne voulais pas devenir actrice. C’est parce que mon père m’a présentée à M. Bhansali que je me suis retrouvée à l’assister sur le tournage de Black. C’est pendant cette période de collaboration que Sanjay Leela Bhansali m’a dit que j’étais très belle et que je devrais jouer dans des films. Il m’a alors demandé de perdre beaucoup de poids pour pouvoir être l’héroïne de Saawariya, le scénario d’une vie.
Comment cela a-t-il été de travailler avec un perfectionniste comme M. Bhansali?
J’ai travaillée avec lui pendant quatre ans, et il n’est pas si directif en permanence. C’est un personnage haut en couleur, un être humain étonnant qui aime m’encourager - tout comme il le fait avec lui-même - à donner le meilleur de moi-même afin d’être la meilleure, et qui me traite comme sa fille. Pour cela, je lui serais éternellement reconnaissante. Personne ne peut m’aimer et m’accorder son soutien autant que lui. Il est un gourou pour moi, un maître.
On dit que Ranbir est le prochain Aamir Khan et que Saawariya est le nouveau Qayamat Se Qayamat Tak. Est-ce que cela fait de vous la future Juhi Chawla?
J’adorerais être la prochaine Juhi Chawla. Elle possède le meilleur tempo comique qui soit. Elle a aussi été Miss Inde. Je ne pense pas être capable de réussir ce qu’elle a fait; mais si les gens disent cela, c’est super.
Pouvez-vous décrire votre rôle et le personnage que vous interprétez dans Saawariya?
Le personnage que je joue dans Saawariya s’appelle Sakina. Elle est l’essence même de l’amour. Sakina représente l’innocence et l’amour personnifié. Si quelqu’un souhaite apprendre comment aimer, alors il faut s’inspirer de Sakina. Elle fait preuve d’abnégation et elle est sûre de son amour. Je suis privilégiée d’avoir obtenue le rôle d’un personnage si bien écrit dès mon premier film.
Vous avez de la chance de partager l’écran avec Rani Mukherjee et Salman Khan. Comment s’est passée votre association avec deux des acteurs les plus talentueux de Bollywood?
Je pense que Rani Mukherjee va bientôt devenir une légende. Elle est une des rares actrices à être spontanée et, avant tout, c’est un être humain de grande qualité. J’ai beaucoup appris d’elle. Elle respecte tout le monde et traite toute l’équipe du film sur un pied d’égalité. Elle est très sûre d’elle et c’est une bombe. Je l’aime à mort et elle est mon acteur préféré. Salman Khan est un mec cool et un type chaud. C’est le plus beau et le plus sexy de tous les êtres humains.
Est-ce votre part romantique qui s’exprime?
En ce moment, je ne parle que de mon travail et je pense que vous ne me trouverez jamais de liaison avec qui que ce soit.
L’histoire d’amour sur écran entre Rishi Kapoor et Neetu Singh s’est transformée en un vrai mariage. Vous voyez-vous engagée avec Ranbir Kapoor dans un futur proche?
Comme je l’ai dit, je ne vais parler que de mon travail pour le moment. Je suis amoureuse de quelqu’un et ce quelqu’un, c’est mon travail et mon film Saawariya.
La chanson du film que je préfère est ‘Yoon Shabnami’, et Ranbir adore ‘Pari’. Quelle est votre morceau préféré?
J’aime toutes les chansons, mais je peux les classer dans l’ordre: ‘Yoon Shabnami’, ‘Jab Se Tere Naina’ et ‘Thode Badmaash’. Lorsque j’ai envie de faire la fête, je mets ‘Yoon Shabnami’; si je me sens plus romantique, j’écoute ‘Thode Badmaash’.
Vous n’avez jamais voulue devenir une actrice, et en plus de cela, vous n’avez jamais suivi de cours d’art dramatique. Comment avez-vous alors fait face à la caméra?
Je pense que c’est un avantage de ne pas avoir reçu d’apprentissage car tout ce que j’ai fait dans Saawariya vient de mon cœur. Mais j’ai été formée par M. Bhansali et par quelques autres pendant un an. De plus, j’ai travaillée derrière la caméra et j’ai pu voir comment les acteurs et les actrices font leur métier. Cela n’a donc pas été difficile. Je pense aussi que j’ai du avoir hérité de certaines qualités de mon père. Il va falloir attendre pour voir le résultat.
Lequel des films de votre père souhaiteriez-vous revoir encore et encore?
Il y’en a plusieurs, mais j’aimerait voir Mr India, Virasat, Woh Saat Din et Tezaab dans l’ordre de préférence.
Que retiendrez-vous de votre collaboration avec Ranbir Kapoor?
Ranbir est un de mes meilleurs amis. J’étais tellement heureuse d’apprendre que nous allions tourner dans le même film. Ranbir est très énergique, et en même temps, il est très agréable comme partenaire de travail. Le degré de confort entre nous est d’ailleurs visible à l’écran.
Vous êtes née et vous avez grandie dans une famille liée au monde du cinéma. Vous est-il arrivé d’accompagner votre famille dans les soirées?
Non. Mon père ne m’a jamais emmenée dans ces soirées. Et je n’ai jamais eue l’occasion de rencontrer les stars du moment, les Hrithik, Abhishek, Esha, Tusshar, etc., car ils sont tous beaucoup plus âgés que moi. Je ne connais que Ranbir, et il est de la même génération que moi.
Votre mère est-elle heureuse de ce que vous faites?
Oui, si je suis contente, elle l’est aussi. Elle est encore plus heureuse lorsque j’étudie.
Si vous deviez choisir entre le métier d’actrice et celui de réalisatrice dans un futur proche, que choisiriez-vous?
Actrice, sans hésitation. C’est ma passion en ce moment.
Cela signifie-t-il que vous n’assisterez plus aucun réalisateur?
Pour l’instant, je me concentre sur mon métier d’actrice. Je peux envisager d’être assistante de metteur en scène sur un ou deux films encore, pour M. Bhansali, je l’espère, ou pour un autre réalisateur.
Ne pensez-vous pas que la compétition entre Saawariya et Om Shanti Om ressemble de plus en plus à un de nos thrillers?
Je pense que toute cette tension est le fait des médias. Gadar et Lagaan sont sortis le même jour. Lagaan a été sélectionné pour les Oscars et Gadar a battu tous les records au box-office. Tout dépend de la façon dont vous envisagez les choses. Il y’aura toujours des discussions à chaque fois que deux grands films sortiront le même jour, mais le succès d’un film dépend de l’appréciation personnelle du spectateur en fin de compte.
Dans les bandes annonces du film, on vous voit porter des vêtements en noir et blanc très traditionnels. Dans la vie, que préférez-vous porter?
Ma façon de m’habiller dépend beaucoup de mon humeur, et je ne porte que ce qui me permet de me sentir bien.
Que pensez-vous des réalisateurs qui font des films uniquement pour les spectateurs d’outremer?
Je ne sais pas pour les autres réalisateurs, mais Sanjay Leela Bhansali a mis en scène un film universel et Saawariya va plaire à tout le monde, aussi bien en Inde qu’à Londres ou qu’aux Etats-Unis.
Nous aimerions terminer cet entretien avec un message spécial à l’occasion de Diwali.
Un très très joyeux Diwali à tous. Allez regarder Saawariya, achetez beaucoup de vêtements neufs, mangez des sucreries et soyez bon avec les membres de votre famille et avec vos amis. Et utilisez les pétards avec modération, car ils sont nocifs.
***
Elle a effectuée un bond gigantesque en passant du rôle d’assistante de réalisateur à celui de la nouvelle découverte de Bollywood. Mais, pour Sonam Kapoor, l’ascension soudaine vers la gloire et la fortune ne s’est pas passée sans prix. Dans son enfance, elle a été totalement étrangère aux us et coutumes de l’industrie cinématographique indienne. Bollywood n’était pas sa tasse de thé. Elle n’a jamais participé aux soirées auxquelles son père, Anil Kapoor, était convié. Et maintenant, elle est au centre de toutes les rumeurs. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre: cette belle et exquise jeune fille de la famille Kapoor a appris très rapidement comment gérer cette incroyable curiosité dont elle fait l’objet.Le compte à rebours pour le film et les débutants les plus attendus de cette année a déjà commencé. Que ressentez-vous en ce moment?
Je ressens un flot d’émotions. Je suis excitée, nerveuse, heureuse … trop de choses, mon pote! Ne me demandez-pas. C’est le chaos dans mon système en ce moment.
Racontez-nous quelque chose à propos de votre léger périple entre Black et Saawariya.
C’était, en réalité, un voyage où j’ai perdue beaucoup de poids [Rire]. Entre Black et Saawariya, j’ai effectuée un bond de géant. Ç a a été une expérience intense de bout en bout. Nous travaillons constamment sur nous-mêmes pour nous améliorer. J’avais des génies comme Sanjay Leela Bhansali, Omung Kumar, Ravi Chandran, Anuradha Vakil, et d’autres pour me façonner, sans compter un partenaire brillant, en la personne de Ranbir Kapoor, qui jouait et improvisait avec moi. Cela a donc été l’expérience de formation la plus excitante de toute ma vie.
Votre père, Anil Kapoor, est un autodidacte qui a réussi à se maintenir même aujourd’hui dans le cinéma indien. Où pensez-vous que Saawariya vous mènera?
Vous avez raison. J’ai décroché mon rôle dans Saawariya parce que je suis la fille d’Anil Kapoor; c’est comme cela que j’ai été présentée à Sanjay Leela Bhansali, sinon vous n’auriez jamais entendu parler de moi. M. Bhansali a pris soin de tout, depuis la mèche de mes cheveux jusqu’aux ongles de mes orteils. Ce que je suis dans Saawariya, je le dois à Sanjay Leela Bhansali. Donc, ce qui se passera après Saawariya, sera, je l’espère, dû à ma propre contribution. Pour l’instant, je suis ici grâce à mon père et à mon metteur en scène.
Cela veut-il dire que vous n’aviez jamais eue l’intention d’intégrer le monde du cinéma, et que juste parce que Sanjay Leela Bhansali vous a dit que vous étiez belle vous avez accepté avec joie?
Oui, et c’est la vérité. Je ne voulais pas devenir actrice. C’est parce que mon père m’a présentée à M. Bhansali que je me suis retrouvée à l’assister sur le tournage de Black. C’est pendant cette période de collaboration que Sanjay Leela Bhansali m’a dit que j’étais très belle et que je devrais jouer dans des films. Il m’a alors demandé de perdre beaucoup de poids pour pouvoir être l’héroïne de Saawariya, le scénario d’une vie.
Comment cela a-t-il été de travailler avec un perfectionniste comme M. Bhansali?
J’ai travaillée avec lui pendant quatre ans, et il n’est pas si directif en permanence. C’est un personnage haut en couleur, un être humain étonnant qui aime m’encourager - tout comme il le fait avec lui-même - à donner le meilleur de moi-même afin d’être la meilleure, et qui me traite comme sa fille. Pour cela, je lui serais éternellement reconnaissante. Personne ne peut m’aimer et m’accorder son soutien autant que lui. Il est un gourou pour moi, un maître.
On dit que Ranbir est le prochain Aamir Khan et que Saawariya est le nouveau Qayamat Se Qayamat Tak. Est-ce que cela fait de vous la future Juhi Chawla?
J’adorerais être la prochaine Juhi Chawla. Elle possède le meilleur tempo comique qui soit. Elle a aussi été Miss Inde. Je ne pense pas être capable de réussir ce qu’elle a fait; mais si les gens disent cela, c’est super.
Pouvez-vous décrire votre rôle et le personnage que vous interprétez dans Saawariya?
Le personnage que je joue dans Saawariya s’appelle Sakina. Elle est l’essence même de l’amour. Sakina représente l’innocence et l’amour personnifié. Si quelqu’un souhaite apprendre comment aimer, alors il faut s’inspirer de Sakina. Elle fait preuve d’abnégation et elle est sûre de son amour. Je suis privilégiée d’avoir obtenue le rôle d’un personnage si bien écrit dès mon premier film.
Vous avez de la chance de partager l’écran avec Rani Mukherjee et Salman Khan. Comment s’est passée votre association avec deux des acteurs les plus talentueux de Bollywood?
Je pense que Rani Mukherjee va bientôt devenir une légende. Elle est une des rares actrices à être spontanée et, avant tout, c’est un être humain de grande qualité. J’ai beaucoup appris d’elle. Elle respecte tout le monde et traite toute l’équipe du film sur un pied d’égalité. Elle est très sûre d’elle et c’est une bombe. Je l’aime à mort et elle est mon acteur préféré. Salman Khan est un mec cool et un type chaud. C’est le plus beau et le plus sexy de tous les êtres humains.
Est-ce votre part romantique qui s’exprime?
En ce moment, je ne parle que de mon travail et je pense que vous ne me trouverez jamais de liaison avec qui que ce soit.
L’histoire d’amour sur écran entre Rishi Kapoor et Neetu Singh s’est transformée en un vrai mariage. Vous voyez-vous engagée avec Ranbir Kapoor dans un futur proche?
Comme je l’ai dit, je ne vais parler que de mon travail pour le moment. Je suis amoureuse de quelqu’un et ce quelqu’un, c’est mon travail et mon film Saawariya.
La chanson du film que je préfère est ‘Yoon Shabnami’, et Ranbir adore ‘Pari’. Quelle est votre morceau préféré?
J’aime toutes les chansons, mais je peux les classer dans l’ordre: ‘Yoon Shabnami’, ‘Jab Se Tere Naina’ et ‘Thode Badmaash’. Lorsque j’ai envie de faire la fête, je mets ‘Yoon Shabnami’; si je me sens plus romantique, j’écoute ‘Thode Badmaash’.
Vous n’avez jamais voulue devenir une actrice, et en plus de cela, vous n’avez jamais suivi de cours d’art dramatique. Comment avez-vous alors fait face à la caméra?
Je pense que c’est un avantage de ne pas avoir reçu d’apprentissage car tout ce que j’ai fait dans Saawariya vient de mon cœur. Mais j’ai été formée par M. Bhansali et par quelques autres pendant un an. De plus, j’ai travaillée derrière la caméra et j’ai pu voir comment les acteurs et les actrices font leur métier. Cela n’a donc pas été difficile. Je pense aussi que j’ai du avoir hérité de certaines qualités de mon père. Il va falloir attendre pour voir le résultat.
Lequel des films de votre père souhaiteriez-vous revoir encore et encore?
Il y’en a plusieurs, mais j’aimerait voir Mr India, Virasat, Woh Saat Din et Tezaab dans l’ordre de préférence.
Que retiendrez-vous de votre collaboration avec Ranbir Kapoor?
Ranbir est un de mes meilleurs amis. J’étais tellement heureuse d’apprendre que nous allions tourner dans le même film. Ranbir est très énergique, et en même temps, il est très agréable comme partenaire de travail. Le degré de confort entre nous est d’ailleurs visible à l’écran.
Vous êtes née et vous avez grandie dans une famille liée au monde du cinéma. Vous est-il arrivé d’accompagner votre famille dans les soirées?
Non. Mon père ne m’a jamais emmenée dans ces soirées. Et je n’ai jamais eue l’occasion de rencontrer les stars du moment, les Hrithik, Abhishek, Esha, Tusshar, etc., car ils sont tous beaucoup plus âgés que moi. Je ne connais que Ranbir, et il est de la même génération que moi.
Votre mère est-elle heureuse de ce que vous faites?
Oui, si je suis contente, elle l’est aussi. Elle est encore plus heureuse lorsque j’étudie.
Si vous deviez choisir entre le métier d’actrice et celui de réalisatrice dans un futur proche, que choisiriez-vous?
Actrice, sans hésitation. C’est ma passion en ce moment.
Cela signifie-t-il que vous n’assisterez plus aucun réalisateur?
Pour l’instant, je me concentre sur mon métier d’actrice. Je peux envisager d’être assistante de metteur en scène sur un ou deux films encore, pour M. Bhansali, je l’espère, ou pour un autre réalisateur.
Ne pensez-vous pas que la compétition entre Saawariya et Om Shanti Om ressemble de plus en plus à un de nos thrillers?
Je pense que toute cette tension est le fait des médias. Gadar et Lagaan sont sortis le même jour. Lagaan a été sélectionné pour les Oscars et Gadar a battu tous les records au box-office. Tout dépend de la façon dont vous envisagez les choses. Il y’aura toujours des discussions à chaque fois que deux grands films sortiront le même jour, mais le succès d’un film dépend de l’appréciation personnelle du spectateur en fin de compte.
Dans les bandes annonces du film, on vous voit porter des vêtements en noir et blanc très traditionnels. Dans la vie, que préférez-vous porter?
Ma façon de m’habiller dépend beaucoup de mon humeur, et je ne porte que ce qui me permet de me sentir bien.
Que pensez-vous des réalisateurs qui font des films uniquement pour les spectateurs d’outremer?
Je ne sais pas pour les autres réalisateurs, mais Sanjay Leela Bhansali a mis en scène un film universel et Saawariya va plaire à tout le monde, aussi bien en Inde qu’à Londres ou qu’aux Etats-Unis.
Nous aimerions terminer cet entretien avec un message spécial à l’occasion de Diwali.
Un très très joyeux Diwali à tous. Allez regarder Saawariya, achetez beaucoup de vêtements neufs, mangez des sucreries et soyez bon avec les membres de votre famille et avec vos amis. Et utilisez les pétards avec modération, car ils sont nocifs.
mardi 6 novembre 2007
Des mots doux de Ranbir Kapoor
« Nous ne sommes pas égocentriques. Pour cette raison, travailler avec Sonam a été une partie de plaisir. De plus, Sonam est une si jolie fille que cela a été facile de jouer les scènes romantiques du film. Cela s’est passé plus ou moins naturellement. »
« Nous sommes des amis d’enfance. Je l’aime à mort et elle aussi m’aime à mort. »
« Nous sommes des amis d’enfance. Je l’aime à mort et elle aussi m’aime à mort. »
Sonam et Ranbir dans une compétition de danseurs
Dernière semaine de promo pour Saawariya. Sonam et Ranbir Kapoor participaient, il y a quelques jours, à l’émission de télé-réalité ‘Jhalak Dikhla Ja’. Ils ont pu mesurer leur popularité grâce au fabuleux accueil qui leur a été réservé aussi bien par le public que par les candidats et les membres du jury.
La mère de Mona Singh, la présentatrice de la soirée, a même quittée les rangs du public pour aller embrasser Sonam Kapoor et lui dire son admiration.
Ranbir Kapoor a, quant à lui, touché les pieds de Jeetendra [le père de Tusshar Kapoor] en signe de respect pour cet acteur des années 1970-1980, qui est également un ami de son père.
La mère de Mona Singh, la présentatrice de la soirée, a même quittée les rangs du public pour aller embrasser Sonam Kapoor et lui dire son admiration.
Ranbir Kapoor a, quant à lui, touché les pieds de Jeetendra [le père de Tusshar Kapoor] en signe de respect pour cet acteur des années 1970-1980, qui est également un ami de son père.
dimanche 4 novembre 2007
Une prière pour Saawariya
Souvent, avant d’entreprendre une nouvelle activité ou avant de convoler en mariage, de nombreux Indiens se rendent au temple Siddhivinayak afin de faire un vœu pour obtenir la réussite de leurs projets. Les acteurs de Bollywood sont également adeptes de cette pratique.
Il y a quelques années, juste avant la sortie du film Mujhe Kuch Kehna Hai, Ekta Kapoor, la sœur de Tusshar Kapoor, s’était rendue à ce temple afin de prier pour le succès de son frère.
La semaine dernière, Sonam et Ranbir Kapoor ont eux aussi fait le périple à Siddhivinayak à quelques jours de la sortie de Saawariya.
La coutume veut que l’on quitte sa maison et que l’on chemine, pieds nus, jusqu’au temple. Ranbir a effectué le trajet en marchant, certes, mais il avait des sandales aux pieds. Quant à Sonam, en mauvaise santé, elle a préféré s’y rendre en voiture. Les traditions se perdent!
Il y a quelques années, juste avant la sortie du film Mujhe Kuch Kehna Hai, Ekta Kapoor, la sœur de Tusshar Kapoor, s’était rendue à ce temple afin de prier pour le succès de son frère.
La semaine dernière, Sonam et Ranbir Kapoor ont eux aussi fait le périple à Siddhivinayak à quelques jours de la sortie de Saawariya.
La coutume veut que l’on quitte sa maison et que l’on chemine, pieds nus, jusqu’au temple. Ranbir a effectué le trajet en marchant, certes, mais il avait des sandales aux pieds. Quant à Sonam, en mauvaise santé, elle a préféré s’y rendre en voiture. Les traditions se perdent!
samedi 3 novembre 2007
Le premier flirt de Sonam Kapoor
Comme beaucoup de jeunes filles de par le monde, Sonam Kapoor n’a pas échappée à l’effet Leonardo DiCaprio. La nouvelle actrice raconte qu’elle était folle de lui lorsqu’elle était adolescente et qu’elle avait tapissée sa chambre de photos de la star hollywoodienne au nom italien. Elle était également enamourée de Salman Khan, l’acteur qui joue quelques scènes dans Saawariya.
Dans la vraie vie, la première fois qu’elle est sortie avec un garçon, elle était âgée de quatorze ans. Lui était le capitaine de l’équipe de foot du collège alors qu’elle était elle-même à la tête de l’équipe de basket. Ils sont allés s’offrir un McDo. A cette occasion, ils étaient accompagnés du petit frère de Sonam. Trop romantique!
Sonam avoue qu’il lui est déjà arrivé d’être amoureuse. « Cela a été la plus merveilleuse sensation que j’ai éprouvée de toute ma vie. Bien sûr, je ne vous dirais pas qui c’était, mais j’ai appréciée chaque instant de cette histoire. L’amour peut vous conduire à des extrêmes. Il peut vous rendre heureux de façon délirante, ou il peut vous jeter dans des abîmes de souffrance et d’agonie. J’ai vécue les deux extrêmes. »
Sonam explique qu’elle ne lutte jamais contre le chagrin d’amour. « Je savoure ce genre de chagrin. C’est la meilleure chose à faire. »
Dans la vraie vie, la première fois qu’elle est sortie avec un garçon, elle était âgée de quatorze ans. Lui était le capitaine de l’équipe de foot du collège alors qu’elle était elle-même à la tête de l’équipe de basket. Ils sont allés s’offrir un McDo. A cette occasion, ils étaient accompagnés du petit frère de Sonam. Trop romantique!
Sonam avoue qu’il lui est déjà arrivé d’être amoureuse. « Cela a été la plus merveilleuse sensation que j’ai éprouvée de toute ma vie. Bien sûr, je ne vous dirais pas qui c’était, mais j’ai appréciée chaque instant de cette histoire. L’amour peut vous conduire à des extrêmes. Il peut vous rendre heureux de façon délirante, ou il peut vous jeter dans des abîmes de souffrance et d’agonie. J’ai vécue les deux extrêmes. »
Sonam explique qu’elle ne lutte jamais contre le chagrin d’amour. « Je savoure ce genre de chagrin. C’est la meilleure chose à faire. »
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